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Critique de marietjf
A trente milliards de kilomètres du soleil, la planète Neuf, dont l'existence reste hypothétique. C'est l'objectif mythique de la mission Niribu dans laquelle est engagé John Hubbel. Il n'en reviendra pas. Son fils Johnny n'a dès lors qu'un désir, suivre les pas de son père et partir dans l'espace.
On retrouve le prolifique scénariste Philippe Pelaez avec un récit de science-fiction qui joue avec le temps et la réalité. Voyages dans le passé, modification des événements, des perceptions... Qu'est-il arrivé à Johnny Hubbel lorsque sa navette s'est enflammée dans une tempête magnétique ? le récit joue avec le lecteur de la même façon en mettant en place une chronologie floue, des non-dits mais aussi des éléments scientifiques réels....
Je découvre le dessin de Guénaël Grabowski (La série Nautilus chez Glénat) qui sert cette histoire avec un travail réaliste soigné. On sent l'inspiration àla fois des comics us mais aussi des films à grand spectacle comme Interstellar, Seul sur Mars.... et je dois dire que ça fonctionne très bien.
Philippe Pelaez sait nous surprendre. Il passe aisément du western (Six) au polar (Quelque chose de froid), du récit familial (Le gigot du dimanche) à la SF (Air)... Ici il joue avec les codes et propose un récit de SF troublant à la limite du fantastique.
On retrouve le prolifique scénariste Philippe Pelaez avec un récit de science-fiction qui joue avec le temps et la réalité. Voyages dans le passé, modification des événements, des perceptions... Qu'est-il arrivé à Johnny Hubbel lorsque sa navette s'est enflammée dans une tempête magnétique ? le récit joue avec le lecteur de la même façon en mettant en place une chronologie floue, des non-dits mais aussi des éléments scientifiques réels....
Je découvre le dessin de Guénaël Grabowski (La série Nautilus chez Glénat) qui sert cette histoire avec un travail réaliste soigné. On sent l'inspiration àla fois des comics us mais aussi des films à grand spectacle comme Interstellar, Seul sur Mars.... et je dois dire que ça fonctionne très bien.
Philippe Pelaez sait nous surprendre. Il passe aisément du western (Six) au polar (Quelque chose de froid), du récit familial (Le gigot du dimanche) à la SF (Air)... Ici il joue avec les codes et propose un récit de SF troublant à la limite du fantastique.
