A peine sortie de la guerre de 39-45 avec la mandoline de capitaine corelli, je replonge dans celle de 14-18! C'est encore une fois cette très belle écriture comme dans «
la Dignité des Psychopathes», du même auteur, qui m'a permis d'aller jusqu'au bout de ce récit, de plus fort bien construit. Une preuve de plus, s'il en était besoin de l'absurdité de la guerre, commanditée par des incapables (ou plutôt dont tout l'art consiste à se planquer) qui envoient au casse pipe des gens qui n'ont rien demandé