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Critique de seb9308
Dans cet ouvrage, Ugo Palheta s'intéresse aux mouvements néofascistes partout dans le monde, expliquant comment ces derniers se nourrissent les uns des autres (En Inde, au Brésil, aux États-Unis ou encore en Hongrie).
Faisant de manière claire et conscise un point sur les différences avec le fascisme historique des années 1920 et 1930, l'auteur explique comment, en passant sous les radars, les néofascismes s'emparent de toutes les detructions liées aux contre-révolutions néolibérales.
Ils se posent comme une solution rassurante pour les possédant•es, par la promesse d'un néolibéralisme plus autoritaire, et convoquante pour les dépossédé•es par un visage pseudo-social.
Mais le tout reste cimenté par l'idée de purifier la nation des assisté•es et/ou étranger•ères.
L'auteur termine sur la nécessité, pour lutter contre cette marée glissant dans les interstices, de renforcer les réseaux internationaux d'entraide qu'ils
nomment internationale des opprimé•es. Réseaux déjà existant qui ont nourri l'histoire des mouvements socialistes, communistes et anarchistes.
Que l'on trouvera mobilisés autour des luttes féministes, antiracistes, écologistes et antifascistes.
Un livre court que je conseille à toutes personnes souhaitant faire un point rapide sur l'évolution des néofascismes et comment, sur les cendres du nazisme et des autres facismes, ils ont su revenir au pouvoir sous des formes presque finales.
Un livre que je conseille pour ne pas oublier que la lutte est importante et qu'elle est en cours.
Faisant de manière claire et conscise un point sur les différences avec le fascisme historique des années 1920 et 1930, l'auteur explique comment, en passant sous les radars, les néofascismes s'emparent de toutes les detructions liées aux contre-révolutions néolibérales.
Ils se posent comme une solution rassurante pour les possédant•es, par la promesse d'un néolibéralisme plus autoritaire, et convoquante pour les dépossédé•es par un visage pseudo-social.
Mais le tout reste cimenté par l'idée de purifier la nation des assisté•es et/ou étranger•ères.
L'auteur termine sur la nécessité, pour lutter contre cette marée glissant dans les interstices, de renforcer les réseaux internationaux d'entraide qu'ils
nomment internationale des opprimé•es. Réseaux déjà existant qui ont nourri l'histoire des mouvements socialistes, communistes et anarchistes.
Que l'on trouvera mobilisés autour des luttes féministes, antiracistes, écologistes et antifascistes.
Un livre court que je conseille à toutes personnes souhaitant faire un point rapide sur l'évolution des néofascismes et comment, sur les cendres du nazisme et des autres facismes, ils ont su revenir au pouvoir sous des formes presque finales.
Un livre que je conseille pour ne pas oublier que la lutte est importante et qu'elle est en cours.
