Il s'agit d'une version remaniée de discours faits en 2017, courte réflexion sur les interprétations possibles des motivations de l'apôtre
Judas.
Le livre commence par la lettre de la rabbin
Delphine Horvilleur adressée à l'auteur sur la figure du traître dans la culture juive.
L'auteur déplore la présence de
Judas dans le Nouveau Testament, présence inutile pour comprendre la Passion du Christ et devenue « le Tchernobyl de l'antisémitisme chrétien ».
Commentant des passages de son roman
Judas (2014), il évoque l'hypothèse que
Judas soit non pas un traître mais au contraire celui qui a voulu précipiter l'instauration du Royaume de Dieu.