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Critique de JHJM1905
Jai été surprise de voir que l'auteur était édité par une maison d'édition québécoise. Une ME que, de surcroît, j'adore et qui a notamment édité la série culte de mon adolescence ; Les chevaliers d'Émeraude.
Morin nous transporte presque directement, lors des premières lignes, au coeur de l'action : dans un bus où 9 personnes sont prises en otage par 2 ravisseurs.
Un roadtrip angoissant ponctué de 9 arrêts de Paris à Nice... Chaque arrêt est synonyme d'horreur et de violence, les otages comprennent rapidement que le danger vient de l'extérieur plutôt que de l'intérieur du bus.
Si seulement le mal de crâne de Maxence Verlomme, ancien flic, cessait, peut-être pourrait-il trouver la faille afin de sauver tous ces pauvres gens.
Mais le compte à rebours est commencé, Verlomme arrivera-t-il à la fin du voyage sain et sauf?
Morin manie la plume de l'angoisse à la perfection. Il nous scotche littéralement et impossible pour nous d'arrêter de tourner une page après l'autre, la soif de vérité nous assèche la gorge tout au long de cette déstabilisante aventure.
La fin du voyage arrivée, pauvres lecteurs essoufflés que nous sommes pensons pouvoir enfin reprendre notre souffle mais non, Morin nous achève d'un dernier coup de maître fatalement perturbant.
Morin nous transporte presque directement, lors des premières lignes, au coeur de l'action : dans un bus où 9 personnes sont prises en otage par 2 ravisseurs.
Un roadtrip angoissant ponctué de 9 arrêts de Paris à Nice... Chaque arrêt est synonyme d'horreur et de violence, les otages comprennent rapidement que le danger vient de l'extérieur plutôt que de l'intérieur du bus.
Si seulement le mal de crâne de Maxence Verlomme, ancien flic, cessait, peut-être pourrait-il trouver la faille afin de sauver tous ces pauvres gens.
Mais le compte à rebours est commencé, Verlomme arrivera-t-il à la fin du voyage sain et sauf?
Morin manie la plume de l'angoisse à la perfection. Il nous scotche littéralement et impossible pour nous d'arrêter de tourner une page après l'autre, la soif de vérité nous assèche la gorge tout au long de cette déstabilisante aventure.
La fin du voyage arrivée, pauvres lecteurs essoufflés que nous sommes pensons pouvoir enfin reprendre notre souffle mais non, Morin nous achève d'un dernier coup de maître fatalement perturbant.
