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3,92

sur 1305 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Grosse grosse déception.
Je n'aime pas faire de billets sur les romans que je n'ai pas aimé, parce que, qui suis-je moi pour juger quelqu'un qui parvient à se faire éditer tandis que mes lignes ressemblent à des crottes?

Mais voilà, je vais quand même donner mon ressenti bien que probablement, tout le monde s'en fout.

J'ai l'impression, comme je l'ai signalé lors d'un commentaire, que l'éditeur de Minier a dit :" Oh la la, regarde Thilliez a écrit un roman avec un snuff movie ! Cela marche bien, tu devrais écrire sur le même sujet !" Et Minier s'est forcé à écrire sur le même sujet, sans aimer et sans maîtriser... Ce n'est que mon avis.

Le roman est plombé de clichés et franchement, arrêtez avec vos stéréotypes des films d'horreur. le porn torture est une sous-catégorie des films d'horreurs, qui ne plaît pas forcément aux afficionados du cinéma horrifique en général. J'avais espéré une sorte d'hommage dans le milieu du cinéma d'Exploitation comme l'avait fait avec humour J.M Erre avec Série Z ou même le Lézard lubrique de Mélancholy Cove de Christopher Moore. En plus sérieux certes. Ou éventuellement un thriller politico-social car les films d'horreur regorgent de référence sur ce sujet de réflexions comme on peut le voir dans les films de Ari Aster, Jordan Peele ou comme The Hunt, Last Night in Soho, American Nightmare, Jusqu'en Enfer, Plateforme, le Menu, Society, Bernie, Grave, Teeth, etc... Ou artistique sans sombrer dans le Snuff comme les films de Ti West, ou plus ancien Dario Argento, Wes Craven, Tobe Hopper, bref... Quelque chose qui ne dénigre pas les amateurs comme si nous étions dans le milieu, tous assoiffés de Porn Torture ou des psychopathes.

Si vous souhaitez lire un jour, un très bon thriller en hommage au film d'horreur, je vous invite à lire Mon coeur est une tronçonneuse de Stephen Graham Jones.

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Quelle déception! J'étais contente de me plonger dans la nouvelle enquête de Martin Servaz mais cet opus n'a pas été à la hauteur de mes attentes. L'intrigue se passe dans le milieu du cinéma, plus particulièrement dans le cinéma d'horreur. Un homme, spécialisé des effets spéciaux est retrouvé mort sur son lit d'hôpital. Il avait confié une clé USB au prêtre qui l'avait confessé , ce dernier devait la remettre en main propre à un autre homme.
Un nom circule celui de Morbus Delacroix, réalisateur de films violents et dont sa réputation de direction d'acteurs laisse entrevoir des méthodes dures, à la limite du harcèlement. Servaz et son équipe vont enquêter dans le milieu très fermé des amateurs de film gore. Que s'est-il passé au Mexique lors du tournage de son film Orpheus jamais exploité? Que cherche Judith Tallandier, l'étudiante en cinéma qui a été invité chez Morbus? de Paris à Toulouse, Martin, Samira et Nicolas vont être malmenés , parfois au risque de leur vie, par ces amateurs de tortures en tout genre. Bien que le rythme soit trépidant , qu'il y ait de multiples rebondissements, les ficelles sont parfois grosses et j'ai eu l'impression de lire parfois un catalogue descriptifs de films d'horreur.[ La mort atroce de Nicolas n'était pas indispensable et surtout l'annonce en toute fin du roman de l'évasion d'Hirtmann...Son prochain roman sera peut-être consacré au retour du tueur en série, j'ai envie de dire, Bernard, trouve autre chose, tes thrillers deviennent poussifs!]
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Abandonné page 145 🫤. Non là vraiment pas possible, je me suis accrochée pourtant, fan de l'auteur depuis le début. Je n'ai pas aimé le thème ni certains personnages donc je vais passer à autre chose. Dommage je me réjouissais de le lire. Ceci dit je continuerai à lire B.M que j'apprécie beaucoup.
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SpoilersRien ne va. le bingo du thriller de mauvaise qualité. On tourne en rond. Quand les écrivains évolueront ? Jamais- Trope hôpital psychiatrique- La psychophobie habituelle- le mystere du gars disparu d'une pièce sans aucune trace- Les meurtres décrits comme 'j'ai jamais vu un truc pareil' par les flics & cie- le thème des films d'horreurs en surfant sur l'idée que ils sont pas bien nets ceux qui produisent ça- Les méchants vraiement méchants avec tete de vampire, c'est gratuit- le cliché sur le diable - le flic qui ne dort pas et ne mange pas, qui refuse de se faire soigner meme sil vient de se faire couper un doigt et qu'il a 112 côtes cassées, et qui préfère aller seul chez le tueur présumé, parce que je suis un bonhomme moi- Enquêter seul sans aucun respect des regles et des lois parce que flemme, on est dans un livre et il faut du suspens les gars- le cliché des cochons pour faire disparaître les corps : vu et revu- Les remarques mysogines: "fliquette", elle est moche mais magnétique, le cliché de la meuf gothique qu'on veut baiser même si elle est moche juste parce qu'elle est bizarre- La fausse fin où le serial killer enfermé depuis 91 tomes avant parvient à s'évader : on va donc tourner en rond longtemps comme ça ? C'est vrai que tout n'était déjà pas du réchauffé... manque d'imagination intergalactique- le coup de 'on fait passer quelqu'un pour le méchant avec des sabots tellement gros que même hagrid pourrait y mettre 50 fois c'est pieds, et qu'à la fin on nous révèle que c'est sa meuf la méchante- le mobile ésotérique qui sort du chapeau, c'est gratuit- Tout se mélange tellement qu'on a l'impression que l'auteur n'a pas su quoi écrire ni quels thèmes aborder. C'est déconstruit, inintéressant, irréaliste. - Faire 42 allers retours en avions, conduire la bagnole à fond à l'heure parce que l'écologie, c'est pour les faibles- le cliché du flic obsédé par son travail et jaloux de sa meuf mais qui se gene pas de laisser son morveux chez les voisins pendant 1 semaine- le meme vocabulaire cliché qui revient sans arret : cuisiner, baveux, vous allez passer ça au peigne fin etc- le secret médical du psychiatre ? Connait pas. On y va et il déblatère 120pages de diagnostics et d'historique d'une patiente- Consulter un psychologue apres avoir eu son collègue retrouvé dans une fosse à cochons ? Hors de questions. Parce que... c'est un trope livresque voyons, j'aime souffrir et je suis un vrai bonhomme, vous avez oublié ?On prend sans cesse les memes ingrédients et on met ça dans le shaker = ça donne un roman par année. Fade. Réchauffé. J'ai rien contre les plats préparés mais tout le monde sait que oui cest rapide à préparer mais c'est mauvais pour la santé.
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C'est toujours la même mauvaise impression que lors de ma découverte de cet auteur. Je ne pensais pas y revenir, mais ce roman fait partie de la sélection de mon club de lecture.
Alors c'est long, ça n'avance pas. C'est en plus totalement invraisemblable. On pourrait imaginer que la solution de l'énigme serait diluée tout au long du roman, mais non : elle arrive à la fin dans un long monologue.
Avec toujours des références à d'autres tomes... dommage pour un roman qui ne porte pas d'indice de tomaison. Et cerise sur le gâteau, un joli teasing sur le prochain opus.
Oui mais non. Ce sera sans moi
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Alors apr quoi commencer ?
Les thrillers , policiers etc. Ce n'est pas mon registre favoris, peut être une explication de mon ressenti.
Je n'ai rien aimé dans ce livre. Au début les chapitres se superposent sur deux histoires, déjà là j'étais perdue. Puis quand j'ai pris le mouvement, je me suis perdue dans les descriptions à rallonge. Puis certaines scènes sont couru d'avance. D'un côté ils en dévoilent trop et de l'autre pas assez... Bref je me suis ennuyée. Mais encore une fois, ce n'est que mon avis personnel
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Comment dire ce que l'on pense d'un livre quand on n'est jamais rentré dedans ? Et pourtant j'ai parcouru les 500 pages, avec application et détermination. Mais le coeur n'y était pas et l'ennui a coulé sa chape. Donc pas de commentaires ! Ce roman est peut-être bon mais je ne le saurai jamais.
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