« Le cendrier pénétra dans la boîte crânienne comme dans du beurre. Le bruit atroce de craquements, dur et mou à la fois, le fit frémir. Frémir au plus profond des tripes. Mais ce n’était plus de terreur. Le plaisir était là. Celui de dominer l’autre et de mettre fin à sa propre souffrance. Les yeux exorbités, les pupilles closes sur son monde intérieur délirant, il frappa et frappa encore. Son cerveau libérait anarchiquement ses neuromédiateurs. Chaque coup semblai... >Voir plus