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Critique de LoupAlunettes
Mais qu'est ce que c'est que ces gens qui n'en font qu'à leur tête?
L'auteure de l'histoire a bien du mal, lui, du coup.
L'illustrateur prend ses libertés pour L Histoire perdue.
L'illustrateur choisit de modifier ou d'ignorer les détails de son auteur, il raconte sa propre histoire et ainsi l'auteure de l'interpeller, pour la dose d'humour, à chaque double-pages par un phylactère de BD.
Mais où nous emmène t-on?
Eva fête son anniversaire et se trouve invitée par son cousin Théo.
C'est le début d'un itinéraire amusant mais contrarié qui n'est pas sans rappeler finalement la démarche des livres-jeu dont nous sommes le héros.
A l'instar de ses lecteurs, Eva va suivre ses propres instincts, modifier le récit pas à pas, guidée par la main (ou le pinceau devrait-on dire) de l'illustrateur.
A cette différence près, en effet, qu'elle se trouve un peu aidée et cela rend un rapport comique de la collaboration d'auteurs. de vrais clowns Blanc et Auguste dans leur numéro.
Nous savons que d'ordinaire pour un livre d'images, l'illustration se subordonne à son histoire, elle lui prête une visibilité, entre autres égards pour les jeunes lecteurs qui ne savent pas lire.
Ainsi, pour notre petit plaisir et la fantaisie de l'histoire, Eva va adopter sa tenue d'exploratrice au lieu de sa robe bleue, prendre le chemin des champs plutôt qu'une rue et ainsi de suite. L'illustrateur, ce gentil fourbe.
Vite vite, un grand, qu'il nous raconte l'histoire perdue!
Une drôle d'histoire, oui, à plusieurs titres, qui permet aux auteurs de se mettre en avant et faire leur théâtre. Une excellente idée pour rendre à César ce qui lui appartient pour chacune des histoires que nous aurons entre les mains.
Mais au fait, que va t-il advenir de l'anniversaire d'Eva? Et la surprise de Théo?
Pas de panique. Elle est à la fin.
L'auteure de l'histoire a bien du mal, lui, du coup.
L'illustrateur prend ses libertés pour L Histoire perdue.
L'illustrateur choisit de modifier ou d'ignorer les détails de son auteur, il raconte sa propre histoire et ainsi l'auteure de l'interpeller, pour la dose d'humour, à chaque double-pages par un phylactère de BD.
Mais où nous emmène t-on?
Eva fête son anniversaire et se trouve invitée par son cousin Théo.
C'est le début d'un itinéraire amusant mais contrarié qui n'est pas sans rappeler finalement la démarche des livres-jeu dont nous sommes le héros.
A l'instar de ses lecteurs, Eva va suivre ses propres instincts, modifier le récit pas à pas, guidée par la main (ou le pinceau devrait-on dire) de l'illustrateur.
A cette différence près, en effet, qu'elle se trouve un peu aidée et cela rend un rapport comique de la collaboration d'auteurs. de vrais clowns Blanc et Auguste dans leur numéro.
Nous savons que d'ordinaire pour un livre d'images, l'illustration se subordonne à son histoire, elle lui prête une visibilité, entre autres égards pour les jeunes lecteurs qui ne savent pas lire.
Ainsi, pour notre petit plaisir et la fantaisie de l'histoire, Eva va adopter sa tenue d'exploratrice au lieu de sa robe bleue, prendre le chemin des champs plutôt qu'une rue et ainsi de suite. L'illustrateur, ce gentil fourbe.
Vite vite, un grand, qu'il nous raconte l'histoire perdue!
Une drôle d'histoire, oui, à plusieurs titres, qui permet aux auteurs de se mettre en avant et faire leur théâtre. Une excellente idée pour rendre à César ce qui lui appartient pour chacune des histoires que nous aurons entre les mains.
Mais au fait, que va t-il advenir de l'anniversaire d'Eva? Et la surprise de Théo?
Pas de panique. Elle est à la fin.
