Les Chroniques de Gyeon, tome 1 : Tempête de feu

Je ne pensais pas que le premier tome finirait ainsi, j'ai été à la fois triste, déçue mais aussi surprise et intriguée.
Les prochains tomes ne seront plus accès sur Aijee et Chunzu mais bien sur d'autres personnages sauf qu'il peut y avoir des rappels, enfin j'espère car j'ai encore beaucoup de questions en suspens.
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Bien que cette chronique est pour la Masse Chronique organisé par les Editions Sharon Kena, je possédais déjà le livre, du fait que je l'ai reçu à noël. de fait, cela sentait un peu plus pour moi comme une lecture commune. de toute façon, je pense que ce livre n'aurait pas duré longtemps dans ma PAL. Pour la simple et bonne raison que sa couverture était rouge. ...Non et aussi pour le dessin bien sûr, hein.

De fait, j'ai plus fait attention à la couverture, qu'au quatrième de couverture, de fait, quand j'ai lu le résumé, une fois le livre en main...J'ai un peu déchanté, mais finalement ça allait. Immédiatement, on sent les influences que possèdent l'auteur. Ce livre était écrit comme l'on regarde un k-drama historique. Personnellement, je n'en ai jamais vu en entier, j'ai horreur de ce genre, mais j'en ai déjà traduit donc j'ai un petit peu d'expérience. Les parties de chaque personnage, me faisait l'effet des changements de scène. J'ignore si c'est fait exprès, mais ce n'est pas déplaisant.
De cette façon, l'on découvre les personnages principaux dès le début. On apprend également l'histoire: Aijee, princesse de Koro, est destiné à quatre garçons, qui possèdent chacun une famille servant le royaume. J'ai eut énormément de mal à retenir les noms, et à les différencier, mais cela me fait toujours ça avec les noms à consonance coréens ou chinois. Il y a donc Kyaan, qui bien qu'il ait l'air bourru, m'a semblé aussi amusant. Ensuite, il y a Myun, qui semble énergique et assez vif, l'érudit dont j'ai oublié le nom - je ne suis pas sûr, j'ai peur de me tromper - qui m'a fait un peu sourire du fait que les femmes le rebutent. Puis, pour finir, il y a Chun. Un guerrier mystérieux et ténébreux (c'est le cas de le dire) Elle fini par en choisir un, et ce, sans hésitation. Aijee, jette donc son dévolu sur Chun. Je n'ai pas rejeté son choix, l'appréciant également. Je préférais tout de même Kyaan, ou le cousin de Myun ou de Kyaan (je ne suis plus sûre, tiens) mais c'était mon propre goût.

Dès le début j'ai apprécié l'histoire, mais sans plus. Peut-être parce que ce n'est finalement pas le genre de chose qui m'emballe, mais l'écriture était suffisamment fluide pour m'emballer et me faire continuer. Ce qu'il s'y passait n'était pas non plus ennuyant, donc je dois dire, que, j'ai aimé. Mais ce n'est pas de l'adoration ni de la fascination. J'ai passé un bon moment, voilà tout.
Il y a eut de nombreux rebondissements qui ont su me surprendre, bien que pour certains, je me doutais de certaines choses. Mais le principal twist qui s'est produit, était un véritable étonnement, et ce fut plutôt agréable. L'évolution d'Aijee en joue d'ailleurs, et je dois avouer que j'ai apprécié ce personnage pour sa légereté...Même si parfois elle me paraissait un peu fade, comme si elle ne réagissait pas à certains instants. Mais cela était peut-être dû aux différents points de vue ? Je l'ignore.

Au départ, je me demandais en quoi le livre était "fantastique" mais au fur et à mesure de ma lecture, je me suis rappelée qu'il n'y avait pas forcément de magie dans ce genre. de fait, ce détail qui m'a dérangé au début, a disparu. Bien que j'avoue être plus friande des choses magiques que les capes et épées... (En lecture, cela passa beaucoup moins qu'en visuel).
La fin ne m'a rien fait. Peut-être parce que cela arrive trop vite (ou que j'étais entrain de lire en cours), du coup, même si je l'ai appréciée, et bien, je n'ai rien senti. Si, un peu de tristesse, c'est vrai, parce que bien que brusque (pas tant que ça au final), l'histoire d'amour est mignonne quand même. Un peu simpliste mais suffisante.

En somme c'est un bon livre, mais j'hésite à me procurer le tome 2 lorsqu'il sortira. Ce n'est pas une question que je n'ai pas aimé, vu qu'il a de bons attraits, que c'était intéressant et bien ficelé, mais on va dire que je crois, que même en livre, les histoires touchant sur le monde "coréen" (là pas vraiment) durant l'ancien temps, ne m'emballe guère.

Tout d'abord je tiens à remercier les éditions Sharon Kena pour m'avoir offert l'opportunité de lire ce livre en m'accordant leur confiance pour l'opération "Masse Critique".

N'ayant pas de suite compris le principe de leur masse critique, j'avais choisi un autre livre (Le fruit d'un amour impossible, tome 1 de Angie L. Deryckere) lors des votes et je pensais que ce serait celui-ci que je lirais pour le service presse, aussi quelle ne fût pas ma surprise quand j'ai découvert qu'il fallait chroniquer ce roman de Céline Mancellon.

Comme vous avez pu le remarquer j'ai traîné avant de commencer ma lecture jusqu'au dernier moment (il faut le lire pour le 30 avril), la couverture ne m'attire pas même si l'illustration est vraiment bien faite. Mais j'avoue que je ne suis pas attirée plus que ça. le résumé ne m'enchante pas non plus. Et au final, je n'ai plus le choix, sinon je ne suis pas dans les clous de mon programme.

Le début est fastidieux, j'ai du mal à me mettre dans l'histoire, je m'emmêle les pinceaux avec tous les termes et les noms japonais. Je suis perdue dans ma lecture et c'est vraiment la première fois que ça m'arrive à ce point.

Mais je persévère, car je n'aime pas ne pas terminer un livre et je dois dire que j'ai été sacrément surprise. L'intrigue de Céline Mancellon est rondement menée. Je ne m'attendais absolument pas à cela et encore moins à la fin.

Dans la première partie de l'histoire, Aijee est en âge de se marier, elle doit donc choisir le futur gendre royal pour passer le reste de sa vie à ses côtés. Il y a quatre prétendants, tous plus différents les uns par rapport aux autres.

Elle va faire leur rencontre chacun tour à tour au détour d'une escapade. Mais rapidement son coeur va être attiré par Chunzu, alors que sa raison lui dictera que ce n'est pas le meilleur choix pour le royaume.

L'intrigue est construite autour d'intrigues prévisibles comme les conspirations contre la famille royale, ou les enjeux politiques, mais l'auteur intègre également sa touche en nous emmenant là où elle le veut sans que l'on s'en aperçoive.

En bref, mission réussie pour Céline Mancellon, elle a captivé mon attention alors qu'au début c'était loin d'être gagné.
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