Martin Eden

Lecture intéressante au début mais la fin m'a lassée.
Un homme ordinaire, sans le sou et de classe inférieure, est invité par un copain dans un repas avec des gens de haute société. Martin Eden a senti la différence mais est tombé sous le charme d'une femme. Il apprendra par lui-même à lire en fréquentant les bibliothèques, il demandera au bibliothécaire les bonnes manières à avoir, il s'élèvera intellectuellement pour égaler la femme de son coeur (elle n'est pas indifférente à lui et son charme viril). Cette partie est intéressante.
Ensuite, il continuera son ascension, à se poser ses propres questions, à ne pas être un simple mouton... Cette démarcation n'a pas plu à sa dulcinée et à moi non plus.

ce livre m'a tellement ennuyé...je me demande si je dois le relire, car il avait tout pour me plaire. Je ne me suis pas attaché aux personnage, j'avais l'impression que l'histoire se répétait sans arrêt...

Je ne comprends en rien l'engouement autour de ce Martin Eden et pourtant j'aime bien London en général
Que ce livre est ennuyeux ... que l'histoire d'amour est mièvre et inintéressante.. que c'est répétitif.. reste une belle écriture..
Je préfère 1000fois le London des romans d'aventure.

Superbe progression sociale base sur le dépassement de soi par amour.
Après la déception, la descente aux enfers jusqu'au suicide.

Un roman conventionnel, à la limite ennuyeux. L'écrivain est bien meilleur lorsqu'il écrit sur ce qu'il a connu et vécu: ses années dans le Klondike où il tire ses recueils de nouvelles "Smoke bellew " ou "la jeune fille des neiges" sont vraiment réussis.

#Chronique : Martin Eden de Jack London

Lu dans le cadre du Prix Audiolib​ 2019, ce titre auto biographique nous raconte la vie d'un jeune homme de 21 ans, très amoureux d'une belle bourgeoise.
Mon avis : http://www.leslecturesdelily.com/2019/04/martin-eden-ecrit-par-jack-london.html#more

Lien : http://www.leslecturesdelily..

Ce roman avait tout pour me plaire et pourtant je me suis profondément ennuyé. J'ai insisté, je m'y suis repris plusieurs fois et malgré tout le bien qu'on m'avait dit, j'ai dit non à la page 129. Stop !
Ce n'est que longueur et mièvrerie.
Fort heureusement je n'en tiendrai pas rigueur à Monsieur London.