Ce livre est une honte.
Je ne vais pas partir dans une polémique féministe. Ce n'est pas mon but, et je n'aurais pas choisi de le lire si cela avait été le cas.
Sans compter que j'ai détesté les deux personnages, autant l'un que l'autre, leur superficialité, on ne peut plus cliché, le mafieux sombre pour faire mouiller les ados prépubères et la gonzesse stupide qui ne sais lire que les magasines de mode... c'est surtout l'écriture qui m'a le plus déconcertée.
Au secours, les gens n'ont donc plus aucune attente littéraire ? Une collégienne en première année aurait pu écrire ce livre. Enfin, cela ne m'étonne guère. Nous avons eu droit à Fifty shades, 365 jours prend le relai de la médiocrité.
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