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Critique de Val88
Alice Pendelbury et Ethan Daldry partage le même palier, à Londres. Elle est nez, lui est peintre. Ils se connaissent à peine et pourtant ils vont se retrouvés réunis pour un beau voyage à Istanbul...
Je n'ai pas trop accroché par l'entrée en matière du voyage, un peu tiré par les cheveux, à mon goût, mais bon, il fallait bien un contexte pour arriver à Istanbul. Une fois là-bas, je me suis laissée prendre par la découverte des différents endroits qui vont amener Alice à découvrir la vérité sur ses origines. le caractère mal embouché et moqueur de Daldry m'a assez agacé. Par contre, j'ai beaucoup aimé leur correspondance, lorsqu'Alice se retrouve seule à Istanbul. J'ai aussi versé quelques larmes en apprenant l'histoire des parents d'Alice. Un petit regret : je trouve dommage de ne pas pouvoir sentir toutes les odeurs décrites par Alice lorsqu'elle veut créer un parfum afin de retranscrire sa vie de stambouliote. Les odeurs nous font aussi voyager et ce livre donne envie de découvrir Istanbul.
Je n'ai pas trop accroché par l'entrée en matière du voyage, un peu tiré par les cheveux, à mon goût, mais bon, il fallait bien un contexte pour arriver à Istanbul. Une fois là-bas, je me suis laissée prendre par la découverte des différents endroits qui vont amener Alice à découvrir la vérité sur ses origines. le caractère mal embouché et moqueur de Daldry m'a assez agacé. Par contre, j'ai beaucoup aimé leur correspondance, lorsqu'Alice se retrouve seule à Istanbul. J'ai aussi versé quelques larmes en apprenant l'histoire des parents d'Alice. Un petit regret : je trouve dommage de ne pas pouvoir sentir toutes les odeurs décrites par Alice lorsqu'elle veut créer un parfum afin de retranscrire sa vie de stambouliote. Les odeurs nous font aussi voyager et ce livre donne envie de découvrir Istanbul.
