Le mauve, Mal n'en démordait pas : à ses yeux, cette couleur symbolisait la magie et le mystère.
L'île de l'Oubli, rien qu'en voyant la couverture du livre je savais pertinemment que j'allais adoré autant l'extérieur que l'intérieur et cela s'est révélée vrai ! Je sais que c'est un livre très jeunesse (l'auteur est un auteur jeunesse d'ailleurs) mais je suis assez bon public comme j'ai pu le faire comprendre plus tôt et cette petite histoire est passé comme une "lettre à la poste". Je le conseille cependant aux plus jeunes qui aiment les contes puisque le livre est basé tout de même sur les contes et plus particulièrement les "méchants des contes". Ce livre est basé sur un fait (les méchants sont envoyés dans une île..) et j'ai trouvé l'idée de base véritablement original! J'aime beaucoup le fait de s'attarder sur les personnages délaissés dans les contes originaux et de les faire revivre à travers leurs "descendants".
Par ailleurs, un film va être réadapter en téléfilm sur la chaîne de Disney Channel dans quelques mois je crois et je le regarderais avec grand plaisir !
Ils ne vivaient donc pas forcément heureux, mais avaient beaucoup d'enfants.
Ils chantèrent et rirent à tel point que Mal se demanda si ce n'était pas ça le bonheur. Parce que les quatre n'étaient peut-être pas amis, mais ils n'en étaient plus très loin.
Il était une fois une bande de méchants qui avaient été bannis du royaume d’Auradon et condamnés à vivre sur l’île de l’Oubli. Coincés comme des rats sous un bouclier anti-sorcellerie, ces abominables étaient privés de leurs pouvoirs magiques. Ils ne vivaient donc pas forcément heureux, mais avaient beaucoup d’enfants.
Le décret de Sa Majesté la Bête était très clair : ils seraient condamnés à l’exil pour l’éternité.
Évidemment, l’éternité, c’est long. Très long. Plus long que le sommeil de la Belle qui attend un baiser. Plus long que l’attente d’une prisonnière aux cheveux d’or qui se morfond dans son donjon. Et certainement bien plus long que l’espérance d’une souillon qui languit après sa pantoufle de verre...
La Belle avait une pile de bouquins à lire sur sa table de chevet qui menaçait dangereusement de s’écrouler chaque matin sur Mrs Samovar, quand celle-ci apportait le petit déjeuner.
La sorcière-infirmière de Cruella pensait que sa patiente avait été mise à mariner dans de la potion d'hystérie tellement elle était confite de méchanceté. Carlos avait sa propre théorie : les nombreux régimes de Cruella l'avaient détraquée. Pauvres en glucides, mais riches en acides, sans poissons, mais avec quantité de poison.
Quel idiot ce roi, de croire qu'en pressant des citrons, on obtient du nectar de miel.
Adieu cachemire, velours et soie. Jafar traînait en marcel troué, en baskets dépareillées, et cocotait le vieux bouc.
J'ai trouvé ce livre super intéressant et très bien écrit . J'ai trop hâte de la prochaine sortie du tome 2
Je l'attend avec impatience!!!!!!!