Avant de rentrer, je pris le temps de contempler Sauvage.
Mon front contre le sien, je lui caressais l'échine et le murmurait : merci.
Les étoiles étaient bien là, accroché au ciel ancre de Chine.
J'avais l'habitude de venir voir Sauvage, avant le crépuscule.
J'aimais le regarder trotter dans le pré.
Son pelage noir luisant et sa crinière le rendaient aussi majestueux qu'un impressionnant.
Personne ne le montait.