Faut-il vivre pour philosopher ou philosopher pour vivre ? A cette question
Alexandre Jollien répondrait : les deux mon capitaine ! Il se livre devant nous, armé de philosophie, a un âpre combat face à ses démons. Page après page le bonheur flux et reflux à la manière des marées. Une occasion de prendre conscience que les conditions du bonheur se renouvellent sans cesse en nous et que la joie réside plus dans sa quête que dans de son accès éphémère.
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