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"Juste derrière la porte, ils trouveront un collier de chien, des matériaux de construction et une pièce insonorisée. Je leur ai dit à quoi s'attendre".

"La Femme Policier prend des photos de mes poignets et de mes chevilles. Elle parle par phrases de deux syllabes. Oh, merde. Kit viol".

Treize ans après cet évènement, l'enquête est encore ouverte. Celle qui concerne le kidnapping et le viol perpétré par son ex compagnon. Celui que Lacy M. Johnson a connu lorsqu'elle suivait ses cours d'espagnol à l'université alors qu'elle avait 18 ans et lui 36.
Celui qui pendant des années l'aura maltraitée, menacée, frappée, puis kidnappée, violée et sodomisée sous contrainte, avant de s'enfuir pour le Mexique.

Depuis, elle tente de se reconstruire. D'abord après une période seule, durant trois ans, puis progressivement en reprenant confiance et en rencontrant d'autres personnes, qui l'aideront à reprendre une vie de famille et à avoir des enfants.

Mais au fond, on ne se remet jamais d'un tel crime.

A mon avis :
Je dois reconnaitre que je suis un peu déconcerté à la sortie de cette lecture.

D'abord, par le style, assez impersonnel puisqu'aucun personnage n'est nommé. Ils sont remplacés par "mon collègue marié", "mon copain", "l'homme avec qui je vis"...
Cela a tendance à nous éloigner du texte, mais bon admettons !
Et puis il y a la construction du récit, brouillon, désordonné. Peut-être est-ce le reflet d'un certain état d'esprit dans lequel se trouve l'auteur, mais pour le lecteur il ne reste que cette impression de confusion pas forcément agréable.

Enfin, on est à la fois face à ce que l'on entrevoit comme des réticences à évoquer certaines choses (notamment l'acte fondateur de ce récit), puis à des aveux dont on se demande ce qu'ils apportent à l'histoire, si ce n'est encore un peu de confusion.

On ressent pourtant bien ce qu'a voulu faire passer Lacy M. Johnson : la douleur et la difficulté à se reconstruire, la persistance de la mémoire d'un acte dont on ne peut se défaire et qui vous poursuit toute la vie, mais cela manque sans doute de profondeur et de franchise.

Et pour achever d'être décontenancé, cet aveu d'une jeunesse très vite sexualisée, d'abord illustrée par le viol par un garçon ivre dans un sous-sol (pourquoi celui-ci n'est-il manifestement pas traité avec autant de gravité que celui qui fait l'objet du livre ?), puis par ce qu'elle écrit dans son journal d'adolescente : "...je fais le mur pour aller me bourrer la gueule, fumer de la beuh et coucher avec des garçons qui ont déjà fini le lycée. J'écris que je baise avec un homme adulte sur le terrain de golf, en pleine nuit. Que sa bite est tellement grosse qu'elle me fend presque en deux. J'écris sur l'homme qui m'entraîne dans un coin en dansant, à une fête, puis me baise sur le siège avant de sa voiture. J'écris sur l'étudiant qui me baise sur la couchette du dessous à une fête sur le campus - j'ai la tête qui tourne à cause de l'alcool, ma copine comate dans la pièce à côté. J'écris que je vais dans des appartements pour sucer des mecs. Dans mon carnet, je ne veux que ça : baiser."

Que de confusion...


Retrouvez d'autres avis sur d'autres lectures, sur mon blog :
https://blogdeslivresalire.blogspot.com/
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Il semble logique, une fois l'ouvrage refermé, qu'Alexandria Marzano-Lesnevich fasse figurer Je ne suis pas encore morte de Lacy M. Johnson parmi ses ouvrages favoris. L'autrice de L'Empreinte — fabuleux récit autour de la pédophilie et de la peine de mort publié en 2019 chez Sonatine — retrouve certainement l'authenticité, la force et le drame qui habitent sa propre histoire.
Mais Lacy M. Johnson, elle, n'est pas là pour mener une enquête et une réflexion aussi approfondie. Elle est là pour livrer son témoignage, celui d'une femme kidnappée, violée et traumatisée par son ex-compagnon.
À travers Je ne suis pas encore morte et ses 190 pages, l'américaine raconte et chasse ses propres démons, explique la terreur du survivant et la force de l'histoire couchée sur le papier.

Morte et vivante
Plusieurs fois, Lacy M. Johnson fera référence à l'expérience archi-connue du chat de Schrödinger, à la fois mort et vivant, enfermé dans une boîte dont l'observateur ne peut voir l'intérieur.
L'histoire de Lacy semble identique, c'est celle d'une femme qui a survécu et qui n'a pas survécu, l'histoire d'une femme dont le traumatisme ne se voit pas de l'extérieur mais dont la terreur sourde s'insinue dans sa vie et jusque dans ses rêves.
Je ne suis pas encore morte ne se borne pas à raconter le drame, l'enlèvement, le viol. Non.
C'est un tout, un témoignage sur l'avant et sur l'après, sur une relation toxique qui se révèle, avec le recul, aussi violente et humiliante que ces cinq heures de torture. Lacy M. Johnson brosse son auto-portrait, recoupe ses souvenirs et se rappelle la lente descente aux enfers d'une femme pris au piège avec un homme violent, narcissique, dominateur, pervers.
La force du récit, c'est de ne rien éluder, ni les propres failles d'une jeune femme certainement trop naïve ni le visage du coupable, l'homme ordinaire qui devient un monstre sans crier gare.

Elle agit comme un acte libérateur, qui permet de dire, d'exister, de trouver un sens. Lacy M. Johnson consacre finalement peu de temps au noeud de l'intrigue, cet enlèvement et ce déchaînement de violence écoeurant. Elle s'intéresse à l'après, à la reconstruction. Comment peut-on s'en sortir après avoir vécu quelque chose d'aussi extrême, d'aussi traumatisant ? Comment la société, les proches, le mari, les enfants peuvent-ils comprendre ce qu'il s'est passé ?
La véritable interrogation derrière le drame, c'est celui du survivant.
La possibilité de réintégrer l'ordinarité d'une vie qui a changé pour vous mais pas pour les autres. Malgré les années, le traumatisme reste, l'épée de Damoclès suspend sa course et s'attarde.
Quelle est la solution ? En existe-t-il vraiment une au fond ?
Lacy M. Johnson se demande même si le fait de traîner son agresseur/violeur en justice lui apporterait la paix. Ne serait-ce pas une nouvelle épreuve ? Une nouvelle blessure que l'on rouvre encore et encore ?
Il y a de l'ambivalence dans les mots de l'américaine, quelque part entre la haine et la lassitude. C'est toute la complexité de l'après qui se fait jour dans ce récit découpé en paragraphes courts et incisifs, qui radioscopie une société où le sexe, la perception masculine du corps féminin et même le rapport personnel de la femme à son propre corps semble se liguer contre l'autrice.
Remarquable par sa concision et sa précision, le récit raconte l'inracontable, la souffrance au-delà des mots, de celle qui pourrit en-dedans, qui reste, qui stagne, qui ronge. Jusqu'aux miracles fugaces, de la rencontre avec un homme doux, patient et différent à l'amour porté à des enfants qui portent en eux un nouvel espoir.
À la fin, c'est le pouvoir cathartique de l'histoire qui l'emporte. Un pouvoir qui semble davantage destiné tout entier à son autrice qu'au lecteur, un pouvoir qui permet d'avancer et de s'interroger sur la façon de prévenir ce genre de drame pour les générations futures.

Témoignage vibrant de force et de conviction, Je ne suis pas encore morte vise les angles morts qui nous dissimulent la souffrance des survivants, qui banalisent une violence conjugale que l'on esquive. Lacy M. Johnson nous offre une morceau d'elle, de son espace intime pour exprimer à la fois son existence et son inexistence.
En résulte un récit poignant, violent, salvateur.
Lien : https://justaword.fr/je-ne-s..
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Ce que j'ai ressenti:

C'est une histoire. Certaines histoires méritent une plus grande implication. Je vais m'y investir, à coeur ouvert. le laisser là, sur les escaliers,ni vivant ni mort, au fond d'une boîte…Parce que chaque histoire est unique. Je vais la transporter, toujours avec moi. Une même histoire a plusieurs versions, selon de quel côté on se place, selon qui la raconte, ou qui la vit. J'ai vécu celle-ci, en immersion totale avec les émotions, la poésie et les souffrances à nu, de cette femme résiliente. Cette histoire va s'inscrire en moi, encore plus durablement qu'un tatouage. Je le sais. Elle va s'écrire sous la peau, sur les tripes, quelque part où l'on ne pourra plus la déloger. Je ne sais pas encore vraiment l'endroit exact, mais elle va rester gravée, entre le corps et l'esprit, l'habitus fera son oeuvre. Parce que je n'ai pas été seulement touchée, non, on ne va pas pouvoir le dire comme ça. J'ai été transpercée de part en part. Il reste un trou béant, juste là, un peu sur la droite, pas très loin du coeur. Et si jamais tu regardais à l'intérieur, par cette ouverture, tu pourrais voir la colère qui bouillonne, parce que je suis révoltée, bouleversée, par la violence faite à l'encontre des femmes. Et cette histoire, c'est cela, une histoire de drame et de douleurs, le vécu de Lacy, victime de « L'Homme Avec Qui Elle Vit »…

Mais Je ne suis pas encore morte, malgré les dégâts pour le corps et l'esprit, est un récit nécessaire. Lacy M. Johnson est encore vivante, mais dans un autre espace temps, il aurait pu en être autrement…Tant de femmes ne peuvent plus en dire autant, « je ne suis pas encore morte »… Cette phrase, c'est un cri, une sorte de revanche qu'on pourrait entendre avec cette affirmation, mais c'est aussi un cri de détresse, une prise de conscience qu'on devrait faire résonner pour que les choses changent, enfin et durablement, pour la condition féminine. C'est aussi de la poésie, en agglomérée. Elle est partout dans cette histoire, mais surtout dans la vie de Lacy qui s'y raccroche, s'y retrouve et s'y abandonne pour pouvoir se reconstruire. Elle explose en tout sens, sur le papier, sur le coeur, sur les lèvres mais elle vient aussi, lier le tout, pour faire sens. La poésie pour réparer l'âme, l'écriture de ce récit pour se libérer… Une porte ouverte, vers laquelle avancer…

Je erre encore dans la boîte de Schrödinger, vivante et morte, avec un chat, une histoire et quelques vers de poésie. Alors SVP, N'OUVREZ PAS LA BOÎTE, tout est scellé. Je me répare de cette histoire. Allez plutôt ouvrir ce livre. Laissez-moi dans cet espace où les possibilités peuvent coexister…Et laissez-moi aussi, souhaiter force et courage, à Lacy M.Johnson…
Lien : https://fairystelphique.word..
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Vivre et survivre !

Survivre après une séquestration, viols et menaces de mort de son ex-compagnon !

Kidnappée, violée et menacée par son ancien compagnon, l'auteure explique les mécanismes l'ayant conduit à vivre sous l'emprise de cet homme violent.

Elle raconte comment elle est parvenue à s'échapper et à se rendre à la police.

Lacy se dévoile dans cette autobiographie. Une leçon de vie malgré un style difficile à suivre et une histoire atroce.
Son agresseur est toujours en fuite et n'a pas été jugé...
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C'est Alexandria Marzano-Lesnevich, l'autrice de l'Empreinte, fabuleux récit autour de la pédophilie et de la peine de mort publié en 2019 chez Sonatine et qu'on avait largement défenu à da sortie qui signe le bandeau de l'édition française du livre Je ne suis pas encore morte de Lacy M. Johnson d'un lapidaire et incontestable " Lisez ce livre. Il va vous transformer. Il va vous fasciner. Vous ne l'oublierez jamais "

Si la forme est différente entre les deux récits publiés chez nous chez Sonatine, puisque Lacy M Johson privilégie le témoignage des faits à l'enquête, la même intensité et souci d'exorciser ses démons intérieurs habitent les deux textes.

Dans Je ne suis pas encore morte, résonnent les mots terrifiants mais tellement puissants d'une femme kidnappée, violée et traumatisée par son ex-compagnon et sa tentative de se reconstruire si difficilement après la terrible épreuve



Kidnapping, viols et menaces de mort : l'emprise d'un bourreau sur sa vicitime est le point d'orgue de ce récit , glaçant, clinique, sans tabou aucun

Lacy M. Johnson raconte dans le menu détail sa relation avec un être toxique, qui, outre les violences physiques, exercera une emprise psychologique terrible sur la jeune femme.

La lecture est poignante et le courage incroyable de la jeune femme qui témoigne quatorze ans après les faits.

Dans la lignée d'autres témoignages récents qui ont une vraie force littéraire, on pense donc à L'empreinte mais aussi au livre de Guila Fois chroniqué récemment
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Alors là ! Je crois avoir rarement lu un récit autobiographique aussi révoltant, bouleversant, traumatisant que celui de Lacy M. Johnson, victime de séquestration et de viol par un abject ex-compagnon !

Le témoignage est absolument intolérable, je me suis parfois demandée si j'aurais la force d'aller jusqu'au bout de ma lecture … le préjudice (le mot est faible !) subi est ineffaçable et vient s'ajouter à la douleur indicible provoquée par des attitudes souvent très maladroites de force de l'ordre ou de services sociaux (lorsqu'on a réussi à rester vivante …) Même la présence des proches ou des ami(e)s peut – dans une telle situation – raviver l'impression de solitude extrême … Infiniment long sera le parcours de reconstruction !

On ne souhaite pas une épreuve pareille à son pire ennemi, ni même au Diable ! …

Je remercie les Éditions Sonatine, ainsi que Masse Critique Babelio, pour cet envoi qui résonne encore dans ma tête …
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Kidnappée, séquestrée, violée et menacée de mort par son ex compagnon qui refuse qu'elle le quitte, Lacy Johnson revient sur ces 5 heures en enfer, analyse le piège qui s'est refermé sur elle et raconte sa reconstruction.

Témoignage glaçant qui met en lumière la banalisation de la violence conjugale et la mécanique implacable de l'emprise. Des cris aux coups, et tout bascule. le piège se referme.

Morte et vivante à la fois. Mais surtout vivante.

Ce récit, non-linéaire, est brillant sur plusieurs aspects. Tout d'abord, les références littéraires, philosophiques, musicales sont nombreuses. J'ai été bluffée par les 20 pages de note à la fin. A travers la non linéarité, le lecteur est immergé dans la reconstruction de Lacy Johnson. Entre progrès et rechutes. Mais surtout, c'est un récit qui montre toute la force de l'histoire sur papier : l'écriture salvatrice, l'écriture qui guérit. Ce n'est jamais glauque.

C'est le feel strong book de l'été, brûlant d'actualité.
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Lacy était une étudiante ni plus paumée, ni plus délurée que les autres.
Pourtant, lorsque son récit s'ouvre, elle est en train de se sauver d'une maison où elle a été battue et violée. À la police qui intervient, elle le dit sans détour : son bourreau est tout simplement son ancien compagnon.
Les chapitres qui suivent alternent l'avant et l'après ces heures où elle s'est vue mourir. L'auteure dévoile comment elle a plongé dans cette relation toxique et comment elle tente de se reconstruire depuis. Un cheminement long et éprouvant face à la manipulation et à l'emprise.
La plume est sèche, factuelle, épurée. Les personnes - réelles - ne sont jamais citées par leurs noms, accentuant l'aspect clinique de cette confession sans affect, directe, abrupte même.
Au final, un récit cinégénique et haletant qui se lit d'une traite ou presque, le souffle court, peur et haine mêlées.
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Témoignage glaçant d'une femme kidnappée et violée par un ancien conjoint.

Quelle lecture ! Âmes sensibles s'abstenir. Lacy M.Johnson nous raconte le calvaire qu'elle a subi.
D'abord son histoire d'amour avec "L'Homme avec qui elle a vécu", puis le piège qu'il lui a tendu, ultime humiliation, elle est passée non loin de la mort...

Sur un ton froid, elle se livre, sur cette relation mais aussi l'après. La peur qui l'étreint au quotidien. Comment se reconstruire ? La sexualité, la culpabilité, les regrets, bref, beaucoup de sujets intéressants.

J'ai apprécié ma lecture même si ce récit peut paraître décousu et glacial j'y ai trouvé une forme qui me convenait, comme des bribes de souvenirs qui remontent percer la surface. Incisif, déroutant, mais tellement utile malheureusement.
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Un bordereau rouge bien flashy qui nous annonce qu'il faut lire ce livre , qu'il va nous transformer, nous fasciner , qu'on ne va jamais l'oublier … »

Énormément de publicité de la maison d'édition pour cet ouvrage …

Lectrice à la pile à lire qui déborde et grande amoureuse de ce genre d'ouvrages, sensible à ce genre de sirènes je me suis tout de suite dit ce livre est une pépite il me le faut absolument !

Je me suis lancée là dedans sans trop me poser de questions ,avide d'en savoir plus , une puissante envie de connaître l'histoire de cette femme , Lacy, qui a subit un kidnapping / une lourde séquestration des viols commis par un ex compagnon complètement FOU !

Un effroyable monstre qui a voulu lui faire payer la rupture , et même lui ôter la vie …

Elle a réussi à s'échapper à se reconstruire difficilement et nous dévoiler ce témoignage….

Je vais être honnête avec vous et le plus transparente possible (car ce n'est pas un service presse ou un partenariat je paye mes propres livres au tarif plein donc je donne un avis sincère et réel même si je vous avoue je n'aime pas franchement vous donner du négatif mais bon on ne peut pas toujours être ravie et enthousiaste et satisfait ..et vouloir faire plaisir à l'auteur ou à l'autrice ou à la maison d'édition …)

Donc ce fut Une déception , je n'ai pas réussi à accrocher , pourtant je l'ai lu du début jusqu'à la fin …

Je me montre persévérante je donne une chance au livre coûte que coûte !

Le récit est décousu , de nombreux retours dans le passé de l'autrice sont faits et décrits tels qu'ils lui reviennent sans chronologie, ce qui est assez perturbant car on en sait absolument pas où se situer …

Je ne suis pas du tout friande de ce genre de narration …

L'écriture est pourtant fluide , les scènes qui décrivent la violence subit sont terrifiantes et crues , l'histoire vécue est horrible on arrive très bien à s'identifier et à ce placer du côté de la victime , je conçois parfaitement que ce soit complexe à coucher sur le papier ce genre d'expérience …

Malheureusement , je n'ai pas été touchée comme je peux l'être lorsque je peux lire des témoignages ou fictions sur cette thématique …

Ce livre n'est pas mauvais seulement la construction ne m'a pas plu , voilà , je m'attendais à quelque chose de totalement différent , ce qui m'a profondément déçue …

Après c'est un livre à lire car il dénonce complètement la violence faite aux femmes et condamne le comportement horrifique de ces hommes qui violent , qui battent , et qui peuvent tuer !!!

Un sujet brûlant qui est encore trop l'actualité dans n'importe quel pays !
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