Salmacis, tome 1 : L'élue

Un bon livre mais je trouve que ça été beaucoup trop long avant qu'on entre finalement dans l'histoire. Je vais le dire en bon Québécois, j'ai l'impression que l'auteur a trop longtemps niaiser autour du pot. L'histoire aurait dû commencé plus tôt parce qu'elle a plutôt démarrée vers les dernières pages et ça m'a déçue puisque je ne comptais pas m'acheter le second tome. Enfin bref... le personnge principal est attachante, je l'aime bien. Je m'identifie à elle, en quelque sorte, mais je n'apprécie pas trop son frère. J'ai l'impression qu'il ne l'a considère que comme un «bouche-trou» : au début, il ne lui adressait pas trop souvent la parole, occupé avec ses amis ou sa copine, mais lorsqu'il se ramasse dans la merde avec sa copine, avec ses parents à elle et tout, il recommence à parler à Faustine. Ça m'écoeure, le monde qui agissent ainsi, mais je ne sais pas. Peut-être que ce n'est pas le cas de son frère, peut-être que j'ai simplement mal décoder leur relation. Il me semble qu'elle était autrefois parfaite mais que cette arrivée dans cette nouvelle école l'a changée un peu, d'après ce que j'ai crue comprendre.
Pour l'histoire d'Andrea, je n'aime pas du tout. Ça ressemble à tous les classiques Américains : toutes les filles qui sont amoureuses de leur prof (de l'assistant prof, dans ce cas-ci.) C'est trop cliché, que Faustine tombe amoureuse de son assistant prof. Et c'est débile : qui dit qu'elle est vraiment amoureuse ? Elle ne rêve sûrement que d'un amour impossible, comme ceux qu'on voit à la télé. Enfin bref, ce livre m'a déçue un peu et je ne le suggère pas.