>
Critique de Northman
Après les elfes et les nains voilà les orcs et les gobelins, 5 personnages présentés en 5 tomes pour l'instant...
Et on commence avec Turuk, un semi-orc qui se réveille contusionné et amnésique au milieu d'une ville abandonnée mais est rapidement pris pour cible par un archer et ne tarde pas à découvrir les redoutables goules déjà croisées dans les 2 autres séries.
On découvre un personnage avec un certain charisme mais aussi roublard, égoïste et sournois qui joue sur plusieurs tableaux, utilise ses compagnons...
Et on l'apprécie ce salopard !
Le scénario quoiqu'assez simple est bigrement efficace. Tout s'enchaîne sans temps mort, pas de longs palabres soporifiques et on nous sert même un nouveau jargon bien fun qui rappelle celui des Nains.
Côté dessins, même chose, c'est fluide, dynamique et les orcs ont vraiment de la gueule.
Et un dernier sale coup de Turuk sur la dernière page, hyper bien trouvé et auquel on ne s'attend pas du tout, c'est couillu!
Un album qui envoit du pâté !
Et on commence avec Turuk, un semi-orc qui se réveille contusionné et amnésique au milieu d'une ville abandonnée mais est rapidement pris pour cible par un archer et ne tarde pas à découvrir les redoutables goules déjà croisées dans les 2 autres séries.
On découvre un personnage avec un certain charisme mais aussi roublard, égoïste et sournois qui joue sur plusieurs tableaux, utilise ses compagnons...
Et on l'apprécie ce salopard !
Le scénario quoiqu'assez simple est bigrement efficace. Tout s'enchaîne sans temps mort, pas de longs palabres soporifiques et on nous sert même un nouveau jargon bien fun qui rappelle celui des Nains.
Côté dessins, même chose, c'est fluide, dynamique et les orcs ont vraiment de la gueule.
Et un dernier sale coup de Turuk sur la dernière page, hyper bien trouvé et auquel on ne s'attend pas du tout, c'est couillu!
Un album qui envoit du pâté !
