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Citations sur Le diable sur mon épaule (25)

Je n'avais jamais compris comment on pouvait juger un être humain à sa couleur de peau ou à son origine. Un tel niveau de stupidité me dépassait.
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Il existe un endroit par-delà le chagrin où les sentiments sont si puissants qu'aucun mot ne peut les décrire.
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Si les armes à feu sont un symptôme de ce qui ne va pas avec l'humanité, Internet est une fenêtre qui nous montre le pire dont elle est capable.
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— Je sais pas où t’as vécu, tout ce temps-là, mais figure-toi qu’il y a beaucoup de gens qui peuvent pas blairer ton accent et ta couleur de peau. T’as la chance d’avoir des papiers, c’est déjà ça, mais t’auras beau te les agrafer sur le front, ça fera pas changer d’avis tous les racistes de ce pays, tu vois ce que je veux dire ? Avec cent mille dollars en poche et un costume sur mesure, tu vaudras toujours moins qu’un Blanc avec vingt dollars dans son portefeuille et un jean troué.
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Le problème de l'humanité, c'est que quelles que soient les horreurs qu'on imagine, elle sera toujours capable de faire pire. Nous sommes des êtres vils et abjects qui se vautrent dans la fange qu'ils ont créée, les yeux tournés vers un ciel empoisonné qu'ils ont peuplé de fantômes qui les aident à trouver le sommeil la nuit et qui leur fournissent des excuses pour faire ce qu'ils font.
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On n'emporte rien dans la tombe, autant tout claquer quand on est vivant. Et puis, si la mort a décidé de vous prendre, elle vous prendra, que vous vous présentiez à elle à poil ou avec un costume Armani et une Rolex au poignet.
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Quelques semaines après le début de ce cauchemar, une représentante des ressources humaines de mon boulot m'appela. Je ne l'avais jamais rencontrée. Bien qu'elle se dise désolée pour Anita et ses soucis de santé, elle m'informa que la boîte n'avait d'autre choix que de me licencier parce que j'avais épuisé mes congés maladie, mes congés payés et mes congés spéciaux, et que j'avais battu tous les records d'absentéisme. Je raccrochai. Votre fille a un cancer, mais vous n'êtes pas assez productif, alors dégagez.
Merci, le rêve américain.
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Je songeai que religion et violence allaient souvent de pair dans leur façon de flirter avec la mort, mais qu'à la fin, c'était systématiquement la mort qui remportait la partie.
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On traverse la vie en essayant de faire souffrir ceux qui nous on fait souffrir. En leur absence, on s'en prend à quelqu'un d'autre. C'est dans notre nature. Le renier revient à se renier soi-même, à fermer les eux sur ce qui nous rend humains, cet instinct animal qui nous permet de tenir quand tout brûle autour de nous.
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Le passé est le présent emprisonné dans un écho perpétuel.
Le présent est une agrégation d'évènements passés que la mémoire a mis en forme.
Le futur est l'inconnu qui flotte entre le néant et le possible, entre la mort et les nouveaux départs, entre l'incertitude et l'espoir.
Et nous, nous sommes des fragments de chair insignifiants coincés entre les trois, conscients que chaque phrase que nous commençons est constituée d'une part des mots qu'on a prononcés et qui appartiennent déjà au passé, et d'autre part d'un silence qui appartient encore au futur.
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