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4,08

sur 3671 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Claustrophobes s'abstenir.
Les experts en urbanisme sont unanimes et formels : dans l'avenir, l'homme vivra dans de grands ensembles regroupant lieux de vie et lieux de travail, principalement pour limiter les déplacements, sources de gaspillage énergétique. Ces ensembles produiront l'énergie nécessaire aux besoins des habitants, peut-être même l'eau et la nourriture, permettant ainsi de vivre en autarcie dans des écosystèmes artificiels. Et si la qualité de l'air, contaminé suite à une guerre apocalyptique quelconque (nucléaire, bactériologique, on ne sait plus trop…), n'est plus qu'un lointain souvenir, si la pollution ne permet plus de vivre à la surface, il existe une solution : vivre sous terre. C'est le monde que décrit Silo, de Hugh Howey.

Les habitants du Silo ont appris à vivre ensemble dans une société où il faut se serrer les coudes, où chacun doit se conformer au rôle qui lui a été assigné et se cantonner dans son espace réservé, en occupant un niveau plus ou moins proche de la surface selon son statut social, où les naissances sont contrôlées, où tous les déplacements se font à pied et dans un gigantesque escalier en colimaçon, dans lequel montent, descendent, se croisent et se recroisent tous les habitants du lieu qui, tels des fourmis, portent des fardeaux divers et vaquent à leurs obscures occupations, et où les tabous sont nombreux. Par exemple, on n'a pas le droit d'évoquer la vie « à l'extérieur », ni même l'idée de sortir du Silo. En cas de violation de cette règle absolue, la punition tombe sans appel : le récalcitrant est convié à une opération de « nettoyage » consistant à dépoussiérer les objectifs des caméras de surface, ce qui le condamne à une mort certaine.

Or cette idée saugrenue surgit parfois là où on ne l'attend pas, comme par exemple ce matin-là, dans la tête d'Holston, le shérif chargé de veiller à la sécurité et au respect des lois du Silo.

Ainsi commence le premier tome de la trilogie du Silo, inutile d'en dire d'avantage, on devine dès le départ que les dés sont pipés, mais pourquoi ? et par qui ? Mystère. C'est ce que les différents personnages du récit vont chercher à découvrir.

Or, alors que l'idée d'un complot ourdi par des puissances omnipotentes et éventé par un petit groupe de rebelles désireux de se libérer de ses chaînes, aurait pu dès les premières pages titiller ma curiosité de lecteur, là, ne tournons pas autour du pot, la mayonnaise ne prend à aucun moment. L'action et l'intérêt du lecteur se diluent dans d'interminables et inutiles descriptions. Erreur de dosage. Les personnages sans charisme sont épuisés à force de parcourir cet escalier dans tous les sens, on les remplace en cours de narration. Erreur d'ingrédients.

Un monde du futur confiné et contrôlé, où les citoyens se font manipuler. Bien sûr, on pense tout de suite au Meilleur des Mondes d'Aldous Huxley, au Bonheur insoutenable d'Ira Levin, à La Vérité avant-dernière de Philip K. Dick et à une dizaine d'autres dystopies. On se souvient également des films montrant des sociétés souterraines laborieuses qui ne demandent qu'à s'émanciper, du Metropolis de Fritz Lang au THX 1138 de George Lucas en passant par The Island de Michael Bay. C'est dire si le thème est rebattu. Il fallait donc faire preuve d'originalité pour se démarquer des précurseurs et accrocher le lecteur.

Hugh Howey a certes construit un univers qui tient la route, et imaginé quelques situations captivantes (avec une pointe sadisme pour son personnage féminin, qui doit se sortir de pétrins inimaginables) mais le scénario sans réelle surprise, les personnages stéréotypés, le style empesé, la lenteur exaspérante de la narration, plombent la lecture. Seule la fin, avec quelques rebondissements bien trouvés, rattrape un peu le roman, encore faut-il que le lecteur s'obstine à s'aventurer jusque là au fond de ce Silo, après en avoir franchi tous les obstacles. Comme d'autres lecteurs ici, je m'arrêterai certainement au premier tome.



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Ce roman m'a parfois captivée, souvent ennuyée, mais paradoxalement, je suis restée sur ma faim, faim que je pourrai certainement assouvir en lisant d'abord Silo Origine qui répondra aux questions que je me suis posées à propos de ces gens confinés dans leur silo : comment en sont-ils arrivés là ? Pourquoi la terre est-elle devenue irrespirable à ce point ?
Ensuite il est fort possible que j'aille m'intéresser aux autres tomes, histoire connaître l'issue pour ces populations.
Concernant ce premier tome, j'ai trouvé certains passages très longs : les déplacements dans le silo : bon ! On sait qu'on est dans un gros bidon plein d'escaliers, est-il utile de décrire à outrance les ascensions et les descentes ? Sans doute afin de décrire les différents étages qui n'ont pas la même fonction et de repérer les lieux stratégiques qui entreront en jeu plus tard, mais tout de même, j'ai trouvé ça long, (et puis apparemment, les hommes s'y sont installés et ont utilisé toutes leurs connaissances en biologie et technologie pour vivre, alors des ascenseurs n'auraient pas été superflus).
Longues également les scènes que je qualifierais de techniques : deux ou trois chapitres pour s'intéresser à la réparation d'une radio, et la partie description et fonctionnement de la génératrice, passages certainement indispensables, mais qui ne font pas partie de mes centres d'intérêt. Quand à la partie insurrectionnelle, véritable guerre civile qui se déroule dans le Silo, je m' en serais bien passé également.

J'aurai aimé plus de précisions sur la vie dans le silo, l'auteur annonce très rapidement quelques points du règlement intérieur, sans plus, sans doute est-ce approfondi dans les tomes suivants, mais j'aurais aimé des éclaircissements sur la politique de natalité, qui existe bien, on le perçoit, sur la formation des couples, et je pense que la vie dans un silo doit être certainement plus réglementée encore, c'est sans aucun doute, ce qui est détaillé dans « le livre de l'ordre » auquel le lecteur n'a pas accès.

de ce roman, je retiens l'évolution de l'héroïne, Juliette, dite Jules, qui s'accroche à la vie et qui sait parfaitement utiliser ses connaissances techniques pour survivre là où d'autres seraient tombés.

Je ne regrette pas cette lecture et je vais augmenter ma PAL de quelques volumes afin de répondre à mes multiples questions existentielles silotesques.

challenge pavés
Challenge multi-défis
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Ma lecture avait pourtant bien commencé... dans un atmosphère invivable, la population vit recluse au fond d'un silo souterrain afin de pouvoir survivre. La seule vue qu'ils ont du dehors est sur un écran géant directement capté par une caméra extérieure. Les éléments perturbateurs de silo ou les personnes le demandant expressement sont envoyés nettoyer cette caméra.

Mais comme dans toute communauté le jeu de pouvoir est omniprésent. Sous fond de complot interne et de secrets défenses la nouvelle shérif va devoir faire face a de nombreuses menaces...
Si le fond de l'histoire m'a complètement intéressée, la forme m'a un peu plus déplue. j'ai trouvé les cinquante premières pages très intéressantes, mais ensuite le soufflé est complètement retombé. L'écriture etait moins travaillée ainsi que l'histoire qui sommes toutes n'avait rien d'originale.

je ressors donc mitigée de ce roman qui pourtant a fait le buzz à une époque
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Un bon roman d'anticipation.
Tout un univers, toute une population vivant enfermée dans un immense silo, sous terre.
La vie semble se dérouler de façon normale et harmonieuse, chacun ayant sa mission à effectuer pour le bon déroulement de la vie quotidienne de la société.
Mais la vérité aussi est enterrée !...
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Un roman postapocalyptique qui se perd dans sa longueur.
La terre a été dévastée par une toxine mortelle qui a exterminé la totalité du monde vivant ou presque. Une micro société a survécu en s'enfermant dans un silo sous-terrain grand comme un building de 144 étages. La natalité est régulée par une loterie. Chaque étage est organisé pour offrir à ses occupants les moyens de sa subsistance. L'ordre règne et ses contrevenants sont condamnés au « nettoyage », une sortie en combinaison soi-disant étanche où ils doivent dépoussiérer les optiques des caméras de leur bunker. Aucun n'est revenu vivant de sa mission, jusqu'au jour où Juliette, nouvelle shérif du silo, subit la même peine suite à une perfide machination, survit à l'épreuve et disparait derrière une colline...
L'histoire est bonne, elle nous rappelle l'atmosphère qui régnait lors du dernier confinement où un virus menaçait la santé de chacun sans pour autant être aussi radical que la toxine de Hugh Howey. Ce dernier recrée parfaitement cette sensation d'enfermement jusqu'à l'étouffement (claustrophobes, abstenez-vous !). Malheureusement l'auteur nous perd dans une litanie de détails inutiles qui alourdissent beaucoup trop la lecture et lui font perdre son rythme.
C'est bien écrit et il y a de bonnes idées. L'auteur arrive à nous rattraper grâce à l'intrigue qui se cache derrière le quotidien monotone de ces réfugiés de l'apocalypse. Mais l'histoire est beaucoup trop délayée, il y a trop de pages inutiles qui au final font de ce roman une oeuvre assez ennuyeuse.
C'est un roman où l'on a trop d'occasions, au cours de ces 740 pages, de bailler. L'auteur avait les moyens de nous captiver mais il en a trop écrit.
Traduction de Yoann Gentric et de Laure Manceau.
Editions Acte Sud, le Livre de Poche, 740 pages.
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Depuis la page 57 (début de la partie II) et jusqu'au moment où j'ai refermé ce « Silo », je n'ai pas cessé de me dire que ce qui aurait été formidable, c'est que ce livre fut resté ce qu'il était à l'origine : une nouvelle.
Les cinquante premières pages sont en effet formidables, bien écrites, amenant dans une cosmogonie futuriste et poétique une tension dramatique alléchante, des personnages bien incarnés dans une intrigue originale.
Si ces cinquante pages avaient été complétées d'une petite dizaine d'autres pour apporter des éléments de ‘comment' voire de ‘pourquoi' de ce silo, en concluant de préférence de manière ouverte, j'aurais été comblée.
Malheureusement pour moi, ce n'est pas l'option qui a été retenue pour la version post auto-publication, et en fait de quelques pages de final finement ciselé, la nouvelle initiale laisse brusquement la place à un style en rupture qui se délaye sur près de 600 pages, dans lesquelles tout est pour le moins convenu : le rythme et le déroulement de l'action, les personnages et leurs réactions, l'écriture, l'allégorie politico-sociale du silo, la découverte progressive du fonctionnement du silo que j'ai d'ailleurs trouvée plutôt ratée car insuffisamment ébauchée et animée. Et la fin bien sûr, plus convenu, tu meurs.
La bonne nouvelle, c'est que passée cette fameuse page 57, je n'ai plus ressenti la claustrophobie des premières pages, en fait je n'ai plus rien ressenti du tout, j'ai juste regardé les personnages bouger et tourné les pages jusqu'à la révélation… convenue. Un peu comme regarder le Alien de Cameron après celui de Ridley Scott.
3/5 quand même pour le début, et parce que ce serait mentir de dire que l'on s'y ennuie. Par contre, le prequel et le sequel qui ont suivi, ce sera sans moi.
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Un moment assez plaisant de lecture dans ce silo où semblent être rassemblés les survivants d'un monde extérieur désormais inhabitable. J'ai bien aimé l'idée des classes sociales réparties sur les plus de 140 étages étayent cet univers particulier, les riches près de la surface, les autres en bas pour faire fonctionner cet univers particulier. L'intrigue se met en place rapidement et porte bien le récit, même si certains passages m'ont paru un peu longs. de la science-fiction plaisante malgré tout.
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Je ne lis que rarement de la SF ou des dystopies. Dans Silo, ce qui semble rester de l'humanité vit dans un immense silo creusé dans le sol où d'en haut, l'on peut observer l'extérieur, le triste paysage gris balayé par des vents toxiques. (On ne peut qu'espérer que nos descendants ne seront pas contraints à ce genre de plan B). On y vit dans un ordre établi qui semble immuable. Si d'aucuns manifestent le désir de sortir du silo, ils sont exaucés et condamnés à sortir nettoyer les caméras qui relaient les images à l'intérieur, puis meurent, attaqués par les toxines de l'air extérieur.
Le silo est bientôt secoué de menaces, des gens sensés sont condamnés au nettoyage et une jeune mécanicienne des étages du fond est désignée pour être la nouvelle Sherif… Juliette découvrira rapidement que de sombres secrets sont cachés à la population… Dès lors, sa vie sera en danger et nous la suivrons dans ses efforts pour survivre et dévoiler la vérité à ses amis du Silo.
J'ai bien aimé la construction du monde du Silo, détaillée et imaginative, l'organisation sociale et productive, et cette histoire ne manque pas de rebondissements... mais; je m'y suis parfois ennuyée, je crois que ce genre n'est tout simplement pas le mien. On passe beaucoup de temps à décrire comment Juliette réussit à faire des choses, comme construire un scaphandre ou réparer une génératrice, et je n'avais aucun intérêt pour ces longues pages. Ce qui m'intéressait dans cette fiction n'a finalement été qu'effleuré: comment en est-on arrivé là ? vais-je avoir le courage de m'attaquer aux Origines ? mmhhh pas sûre !
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J'aime les univers post-apocalyptiques, suivre des personnages dans un contexte de survie. Je suis aussi attirée par les dystopies, qui imaginent un demain pour mieux parler d'aujourd'hui. Autant dire que Silo avait tout pour me plaire. Finalement, à l'issue de ma lecture, je suis plutôt mitigée.

A l'origine Silo n'est pas un roman mais un "assemblage de nouvelles". Et cela se ressent, le résultat est assez inégal.

La toute première partie, l'histoire de Holston, est vraiment très réussie. En quelques pages, Howey pose les bases et les enjeux de son univers dans un récit prenant et poétique.
Ce qui suit, la partie relatant la descente de Marnes et Jahns dans les profondeurs du silo ainsi que les débuts de Juliette dans son rôle de shérif, est beaucoup moins réussie. Laborieuse, fastidieuse, cette partie aurait méritée d'être largement élaguée.
Le récit retrouve un peu de vigueur lorsque Juliette découvre ce qui a poussé l'ancien shérif et son épouse au "suicide", en fait lorsque l'intrigue revient aux enjeux exposés au début.

Mais globalement, même si la lecture n'est pas désagréable, j'ai ressenti une impression de mollesse, une écriture manquant de dynamisme. Peut-être est-ce dû en partie à la traduction, mais pas uniquement, l'avancement de l'intrigue est lui aussi poussif et traîne parfois en longueur.

J'ai trouvé que les personnages manquaient d'épaisseur, de caractérisation, de vie. Les personnages agissent beaucoup (ils fabriquent, ils réparent, ils montent et descendent des escaliers...) mais leurs sentiments et émotions sont trop peu évoquées (ou bien l'auteur peine à nous les faire ressentir). Ils "font" mais ne "sont" pas. Mon empathie s'en est trouvée amoindrie.

En conclusion, j'ai trouvé l'univers créé vraiment très intéressant, mais je n'ai pas été charmée par l'auteur. Une suite est prévue, je crois que je m'arrêterai à ce tome même si je n'en garderai pas un mauvais souvenir.
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« Silo » est selon moi une dystopie qu'on pourrait qualifier «d'atmosphérique». On y découvre, en effet, la vie des habitants d'un silo : un immense immeuble de près de 150 étages enterré dans les profondeurs de la terre (claustrophobes s'abstenir), à l'abri de l'air extérieur hautement radioactif.

Ce qui s'est passé pour en arriver là, on ne le sait pas vraiment et il ne faut d'ailleurs surtout pas en parler. le passé et le monde extérieur font partie des grands Tabous susceptibles de vous envoyer au « nettoyage », à savoir à la mort assurée puisqu'il s'agit de nettoyer les capteurs extérieurs qui permettent de recevoir des données sur le monde hors du silo.

C'est donc par la peur et par des règles très strictes que la population du silo est tenue. Chaque étage a son utilité, tous portent un uniforme dont seule la couleur varie en fonction des postes occupés, aucune perte de ressource n'est tolérée, les naissances sont strictement contrôlées, etc. le maire, le shérif et le mystérieux « DIT » (département info technologie) veillent à ce que personne ne viole l'ordre établi.

Sauf que tout commence à déraper lorsque le très respecté shérif du silo est condamné au nettoyage, puis remplacé par une jeune femme intrépide et insoumise, Juliette alias « Jules », qui n'hésite pas à poser les bonnes questions. C'est l'équilibre de centaines d'années qui menace alors de basculer et certaines personnes feront tout pour l'en empêcher…

J'ai accroché à l'intrigue que j'ai trouvé crédible et bien ficelée. Ma curiosité a rapidement été attisée par le passé du silo et ses nombreux secrets. Toutefois, si j'ai passé un agréable moment de lecture et avalé ce petit pavé de 700 pages relativement rapidement, je n'ai toutefois pas été complètement embarquée par l'histoire qui comporte, je trouve, des longueurs. le rythme s'essouffle un peu, faute d'action (excepté dans le dernier tiers du roman qui parvient à mettre le lecteur en haleine) et on se demande essentiellement quand les protagonistes vont réaliser ce qui se déroule sous leurs yeux et surtout ce qu'il va advenir de Juliette.

Les descriptions du silo sont réalistes et permettent au lecteur de se visualiser dans cet univers futuriste dont le mode de vie ne nous paraît pas si improbable (ce qui est assez angoissant avouons-le).

J'ai beaucoup apprécié le fait que le personnage principal soit une femme aussi « badass » que Juliette. Celle-ci n'a pas froid aux yeux, en plus d'être ingénieuse et intelligente. Autant dire qu'elle ne se laisse pas facilement berner par les mensonges qu'on voudrait bien lui servir, une vraie héroïne comme je les aime.

Le roman est polyphonique et les chapitres alternent entre les points de vue des personnages. Si le livre en trouve un certain rythme, j'aurais parfois préféré que Juliette, qui est clairement le personnage le plus intéressant, prenne plus de place.

Pour finir, quelques mots sur le style d'Hugh Howey qui est fluide et abordable pour tous types de lecteurs. Par ailleurs, cette dystopie est bien moins sombre que d'autres célèbres romans post-apocalytique.

En bref : Une lecture divertissante en dépit de longueurs à déplorer et qui ne s'estompent que vers la fin du roman. Il y a deux autres opus à découvrir dans cette saga. Si je suis curieuse d'en savoir plus sur cet univers et la destinée des personnages, je ne suis pas encore tout à fait sûre de me laisser tenter.
Lien : https://thecosmicsam.com
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