C’est fou comme lorsqu’on vient d’être embrassé par quelqu’un, on ressent à jamais une impression différente des que ce quelqu’un ne vous embrasse plus. À l’instant où il vous lâche, c’est comme si on vous attachait une partie de votre être.
Il voudrait être avec moi, mais il ne veux pas.
Il voudrait m’aimer, mais il ne sait pas s’il peut.
Il voudrait me voir, mais il sait qu’il ne peut pas. Il voudrait m’embrasser, mais cela nous blesserait autant que la première fois.
Je ne dis pas que tu ne m’aimes pas pour moi-même, parce que je sais que c’est le cas. Je pense seulement que tu t’es trompé dans ton amour.
On ne contrôle pas les élans, de son cœur, Warren, juste ses actes.
Parfois, les mots peuvent avoir sur le cœur bien plus de poids qu’un baiser.
Je ne doute pas un instant que nous soyons faits l’un pour l’autre. Ce sont nos vies qui ne concordent pas.
Je ne m’étais pas rendu compte à quel point le désir pouvait vous qu’émerger, vous ronger chaque partie du corps, vous démultiplier les sens.
Je ne comprends pas cette soudaine obsession qui me pousse à la contempler ainsi, mais je ne peux m’en empêcher.
Tu te dis perdue sans lui, mais tu te sentais déjà perdue quand tu étais avec lui.