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Critique de fleya
J'ai pris mon temps pour savourer ce second tome de Dune, il est des livres où nous savons que nous aimerons la lecture, combien même nous ne comprenons pas tout et certains chapitres nous désarçonnent , je ne pourrais mettre en dessous de 5 étoiles.
Dans la continuité du premier tome, nous retrouvons Paul qui d'empereur est passé au statut de Dieu.
Le côté "négatif" de ma lecture, c'est que je trouve le niveau d'écriture de Frank Herbert complexe, en effet, plusieurs fois j'ai du relire des paragraphes entiers pour comprendre le sens superficiel ou profond du passage. Tout comme le premier tome, je me demandai si je n'étais pas trop "limitée" pour cette lecture et c'est bien la première fois qu'un livre me donne autant de fil à retordre ! Forcement, ça met un petit coup dans sa fierté, malgré tout, j'aime de tout mon coeur cet univers, et tant pis (ou tant mieux ?) s'il me faut relire plusieurs fois la saga Dune pour tout comprendre.
Le messie de Dune est proche du huis clos ce qui confère au récit une atmosphère étouffante où la tension psychologique est à son comble. La frontière entre le bien let le mal est mince, si durant tout le premier tome, on se dit que Paul est du côté des "gentils", on peut se questionner ici, si ce n'est pas tout le contraire.
Ce deuxième tome beaucoup plus fin que le premier est un tome de transition qui donne forcement envie de connaitre la suite, ce que je vais d'ailleurs faire de ce pas!
Dans la continuité du premier tome, nous retrouvons Paul qui d'empereur est passé au statut de Dieu.
Le côté "négatif" de ma lecture, c'est que je trouve le niveau d'écriture de Frank Herbert complexe, en effet, plusieurs fois j'ai du relire des paragraphes entiers pour comprendre le sens superficiel ou profond du passage. Tout comme le premier tome, je me demandai si je n'étais pas trop "limitée" pour cette lecture et c'est bien la première fois qu'un livre me donne autant de fil à retordre ! Forcement, ça met un petit coup dans sa fierté, malgré tout, j'aime de tout mon coeur cet univers, et tant pis (ou tant mieux ?) s'il me faut relire plusieurs fois la saga Dune pour tout comprendre.
Le messie de Dune est proche du huis clos ce qui confère au récit une atmosphère étouffante où la tension psychologique est à son comble. La frontière entre le bien let le mal est mince, si durant tout le premier tome, on se dit que Paul est du côté des "gentils", on peut se questionner ici, si ce n'est pas tout le contraire.
Ce deuxième tome beaucoup plus fin que le premier est un tome de transition qui donne forcement envie de connaitre la suite, ce que je vais d'ailleurs faire de ce pas!
