Elle l'aimait comme l'hiver, avec une détermination dévorante. Elle l'aimait avec la constance de l'été, et la férocité de la nature elle-même.
Tu es mon monde, Signa Farrow.
-Je veux tout savoir Ange de la Mort. Le bon et le mauvais.
- Que penseras-tu quand tu découvriras que le mauvais l'emporte sur le bon?
- Je me dirai que ce que tu as traversé a fait de toi l'homme qui se tient aujourd'hui devant moi. Et je l'aime beaucoup, cet homme.
C'est un amour que je porterai en moi pour l'éternité, c'est pour cela que je n'ai pas peur. Je te jure d'être tienne pour toujours, même quand je ne le serai pas.
Tant que tu voudras de moi, tu seras mienne, Signa Farrow. Je réduirai ce monde en cendres avant de laisser qui que ce soit te prendre à moi.
On dit qu’en amour comme à la guerre, tous les coups sont permis. J’ai creusé ma tranchée et apporté mes fusils, et je n’ai pas l’intention de battre en retraite.
« Écoute-moi. » Signa posa une paume de chaque côté de son visage. « Je t’aime. Tu m’as rendue plus heureuse que jamais et tu m’as permis d’être moi.
En revanche, j’ai peur de toi Signa. J’ai peur qu’un jour, tu me brises le coeur.
Comme elle aurait voulu se blottir dans ses bras et prétendre que le bruit de son cœur qui se brisait ne fendait pas le sien en deux.