Dans les grandes villes, on ne compte plus le nombre de salles d'escalade privées [...]. Des centaines de nouveaux grimpeurs s'y entassent tous les jours, délaissant les murs des gymnases municipaux occupés par les clubs, pourtant tellement plus faciles d'accès financièrement. Cest que le critère économique n'en est plus vraiment un : socialement, l'escalade est une activité prisée de la classe moyenne et de la bourgeoisie.