Il y avait toi et rien ne manquait
Il y avait même beaucoup plus
Il restait quelque chose
Quand tu n'étais pas là
Le mercure sous la main
Quand nos caresses se regardaient dans un miroir
C’était toujours toi qu’elles voyaient
Personne
Ne pouvait apparaître davantage
Nos caresses nous
Installent
Dans un labyrinthe
Percé
De fenêtres
Te prendre la main
Apportait une terrasse
Aux lieux
Où nous étions
Portés par nos caresses
Nos visages nous deviennent familiers