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Citations sur Derniers adieux (92)

- Sans mandat ? s'étonna Sal.
- J'avais pris ma voix la plus agréable. Et puis, c'est pour ça qu'on s'adresse aux secrétaires : elles sont formatées pour consulter des dossiers pour tout le monde à chaque instant. Elles ne prennent pas le temps de se demander pourquoi.
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- Alors au début vous voyez, ce qu'il veut, c'est des trucs avec ses bestioles. Mais ensuite il ne veut pas simplement que ses araignées marchent sur votre bras. Il veut les voir marcher à d'autres endroits. Ça l'excite pas mal. Alors ensuite, il veut faire d'autres trucs et, ouais, peut-être que c'est un peu différent, et que ça ne branche pas toutes les filles, mais bon, d'un autre côté il paie pas mal.
- C'est quoi pas mal ?
- Cent pour une branlette, cent cinquante pour une pipe. Deux cents si on laisse l'araignée regarder.
-Regarder ?
- Depuis sa cage, évidemment. Parce qu'on ne peut pas laisser une mygale se promener en liberté sans surveillance. On risquerait de l'écraser.
- Tout juste ce que je craignais, murmura Kimberly.
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Vous vous croyez en sécurité. Classe moyenne, banlieusard, la bonne voiture, la jolie maison. Vous croyez que les malheurs n'arrivent qu'aux autres  par exemple aux abrutis qui vivent dans des villages de mobile homes où la proportion de délinquants sexuels fichés par rapport au nombre d'enfants est parfois de un sur quatre.
Mais pas à vous, jamais à vous. Vous êtes trop bien pour ça.
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Alors, inexplicablement, le rejet du Burgerman m'a été plus cuisant que son affection ne l'avait jamais été. [p.278]
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Quel genre de petit merdeux ne résiste pas? Que genre de misérable petit abruti laisse un homme lui faire ça indéfiniment sans même être foutu de courir vers cette porte!
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[Spoiler?]
Le temps est pour les autres garçons. Ceux qui n'ont pas été battus, affamés et violés. Ceux qui ne sont pas restés les bras ballants à regarder un adulte tuer un enfant à mains nues.
Ceux à qui on n'a pas ensuite donné une pelle avec ordre de venir aider à creuser une tombe.
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Mais Kimberly et son père étaient unis par un lien plus profond, plus poignant: ils comprenaient ce que c'était de se battre jusqu'au bout pour sauver la vie d'inconnus tout en sachant, jour après jour, qu'ils avaient failli à celles qu'ils aimaient.
Plus encore, ils comprenaient l'importance d'aller toujours de l'avant parce que rester trop longtemps sur place, c'était prendre le risque d'être écrasé par le poids des regrets. [p.107]
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« Parce que c’était ce qu’il faisait de mieux : détruire, même ce qu’il aimait. »
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« Il respectait ses araignées. Il les étudiait, s’en occupait, se servait d’elles pour retrouver l’araignée qui était en lui. »
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La terreur ne dure pas indéfiniment. C'est impossible. Ça demande trop d'énergie de l’entretenir. Et à vrai dire, la terreur naît de la rencontre avec l'inconnu. Mais quand c'est arrivé un nombre suffisant de fois, quand tu as été systématiquement violenté, battu, soumis, ce n'est plus de l'inconnu, n'est-ce pas ? Le même geste dont la perversité t'as un jour choqué, blessé, humilié devient la norme. Voilà ce que sont désormais tes journées. Voilà la vie que tu mènes. Voilà ce que tu es devenu. Un spécimen de la collection.
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