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Critique de Sachan
Alors qu'on se dit que Tsatsuki Fujimoto ne peut pas pousser la violence et le gore plus loin avec "Chainsaw Man", il nous prouve le contraire. Ce huitième opus est malaisant au possible, il faut avoir le coeur bien accroché et le cerveau bien reposé afin de réussir à suivre tout ce qui s'enchaîne à une vitesse folle.
Denji est en mauvaise posture maintenant que les filles de Quanxi lui ont mis la main dessus. Et comme si cela ne suffisait pas, il a fallu que la maîtresse russe et le Père Noël mettent leur grain de sel eux aussi. Seul contre tous maintenant que ses alliés tombent comme des mouches, le démon-tronçonneuse doit prendre les choses en main, surtout que c'est un ordre de Makina qui dévoile enfin son véritable visage.
Condensé d'action et de révélations, ce tome était vraiment incroyable et se dévore littéralement en peu de temps. le dessin nerveux du mangaka est vraiment particulier, ne pouvant pas plaire à tout le monde, pourtant il colle parfaitement à l'ambiance grotesque de Denji et des démons. Les combats sont dynamiques, détaillés, le soin qui est mis dans les démembrements est hypnotisant, t déramais reste dérangeant. C'est glauque, sombre, rude, cru, les victimes se comptent pas dizaines et on ne sait absolument plus à qui se fier. Qui est le gentil et le méchant ? Qu'est-ce qui est juste ? Comme quoi la simplicité de Denji ou Power ont du bon, puisque cela leur permet de s'en sortir plus ou moins indemne.
Denji est en mauvaise posture maintenant que les filles de Quanxi lui ont mis la main dessus. Et comme si cela ne suffisait pas, il a fallu que la maîtresse russe et le Père Noël mettent leur grain de sel eux aussi. Seul contre tous maintenant que ses alliés tombent comme des mouches, le démon-tronçonneuse doit prendre les choses en main, surtout que c'est un ordre de Makina qui dévoile enfin son véritable visage.
Condensé d'action et de révélations, ce tome était vraiment incroyable et se dévore littéralement en peu de temps. le dessin nerveux du mangaka est vraiment particulier, ne pouvant pas plaire à tout le monde, pourtant il colle parfaitement à l'ambiance grotesque de Denji et des démons. Les combats sont dynamiques, détaillés, le soin qui est mis dans les démembrements est hypnotisant, t déramais reste dérangeant. C'est glauque, sombre, rude, cru, les victimes se comptent pas dizaines et on ne sait absolument plus à qui se fier. Qui est le gentil et le méchant ? Qu'est-ce qui est juste ? Comme quoi la simplicité de Denji ou Power ont du bon, puisque cela leur permet de s'en sortir plus ou moins indemne.
