17 pages d'une utopie primale, d'un rêve éveillé de fusion avec la nature, d'un rêve de biologiste de ne faire plus qu'un avec le sujet de son expérience.
Une histoire si courte et pourtant si intense, d'une présence qui devient si présente au monde que le temps n'a plus d'emprise sur son existence.
Sur ces 17 pages, on se prend à rêver qu'on est seul sur le vaisseau, comme le narrateur, et que, sans angoisse, il suffit de s'abandonner à la force vitale fusionnelle qui nous guide.
C'est une juste retranscription de ce que l'on ressent quand on se laisse aller à la communion avec la nature, lors d'une ballade en forêt par exemple. Cette empathie là n'est pas mortifère.
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Jardins est une très courte nouvelle (12 pages) de science-fiction qui illustre la nécessaire reconnexion de l'homme à la nature pour vivre, et même désormais survivre. Lu dans le cadre d'un challenge, son message est important mais le texte est pour moi beaucoup trop court pour avoir le temps de me forger une véritable opinion.
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Comme toutes les nouvelles, j'aurais aimé que celle ci soit plus longue mais j'ai tout de suite était plongé dans l'histoire de cet astronaute qui entretient un jardin pour une nouvelle terre après la destruction du monde végétal sur notre terre.
Cette nouvelle parle de l'urgence climatique, de la destruction de la flore et en même temps redonne de l'espoir car la nature finit par reprendre ses droits.
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Un très court fragment bio-SF, plaisant à parcourir, s'appuyant avec insistance sur sa poésie aux allures d'Eden face au techno-patrio-capitalisme dénoncé de l'ancien monde. Cette nouvelle écologiste est malheureusement très courte, trop courte, que pour se démarquer.
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Reprendre corps
Réécrire l'Histoire et les histoires, se réapproprier le corps du texte. Si le langage forme notre façon de penser, les légendes et mythes fondateurs façonnent notre perception du monde. Et si nous avons les mythes en commun, c'est bien pour les questionner, les interpréter et faire un lieu où l'imaginaire peut influencer le réel.
Animé par Willy Richert.
Avec les auteur·rice·s
Estelle Faye (La Dernière Amazone, Rageot),
Murielle Szac (L'Odyssée des femmes, L'Iconoclaste et L'Odyssée d'Homère, RMN),
Stéphane Bientz (Le Goût du sel, Espaces 34)
et Nicolas Jaillet (Frater, In8).
Avec la participation de Faustine Aynié-Yvinec et des élèves de 3eA du collège Valmy - Paris (75). Un grand merci à Eva Mouillaud, professeure.
Et la voix de Cécile Ribault Caillol pour Kibookin.fr
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