Le "cycle italien" (dans l'ordre de parution : Raphaël et Lætitia, Retour à Montechiarro, Requiem Vénitien, Les absentes, le miroir des illusions) de Vincent Engel a donc commencé par ce drame vénitien, roman court aux allures de théâtre ou d'opéra, où nous rencontrons pour la première fois le père Baldassare, déjà vieux et fatigué mais qui officiera plus tard à Montechiarro, village de Toscane.
Pas de surprise quand comme moi, on a lu les autres romans : Requiem Vénitien part de cette histoire de musicien maudit, en rajoutant un contexte historique qui n'existe pas ici. Un jour, ce sera l'aube est plus une réflexion philosophique sombre qu'une narration romanesque enlevée.
Pas de surprise, donc, mais ma curiosité littéraire autour de cette oeuvre protéiforme est satisfaite : la boucle est bouclée en découvrant le premier pas de l'auteur.
Commenter  J’apprécie         30
Michel Collon interroge Vincent Engel sur des sujets très controversés : antisémitisme, antisionisme, judaïsme, histoire de ces notions...
Une interview très riche d'enseignements.