Clod'Aria se méfie de l'éloquence qui ne sert qu'à "mentir".
Elle lui préfère le texte serré, le langage nu, familier, sans recherche formelle excessive. Elle a le sens du détail vrai qui fait imaginer l'ensemble complexe des émotions. Elle se montre économe des mots "purs comme des cailloux" qui tendent vers la sentence, donnant une impression de transparence, une idée de la vérité. Le poème, par sa simplicité, s'enrichit de son dénuement : du même coup, il ... >Voir plus