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Albert Niessel (Traducteur)
EAN : 9782851841902
209 pages
Editions Champ Libre (12/04/1973)
3.92/5   6 notes
Résumé :
La campagne de 1815 se déroula en Belgique et non en France comme le titre de l'ouvrage le laisse penser.

La campagne de 1815 en France vit la chute définitive du régime impériale avec la défaite de Waterloo. Clausewitz y participa en tant que chef d'état major de la 3ème armée prussienne.

Son analyse critique est particulièrement intéressante car le grand stratégiste y analyse avec forces critiques le comportement des généraux alliés a... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
La campagne de 1815 se déroula en Belgique et non en France comme le titre de l'ouvrage le laisse penser.

La campagne de 1815 en France vit la chute définitive du régime impériale avec la défaite de Waterloo. Clausewitz y participa en tant que chef d'état major de la 3ème armée prussienne.

Son analyse critique est particulièrement intéressante car le grand stratégiste y analyse avec forces critiques le comportement des généraux alliés ainsi que celui de l'Empereur des Français.

Indispensable dans toute bibliothèque napoléonienne.

On peut regretter l'absence d'une carte du théâtre d'opération.
Lien : http://www.bir-hacheim.com/l..
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
C'est certainement un des principes les plus importants et les efficaces de la stratégie que de mettre séance tenante à profit un succès de quelque manière qu'on l'ait conquis, autant que les circonstances le permettent, car tous les efforts que l'on fait pendant que l'adversaire est dans cette crise, sont d'une efficacité bien plus grande que dans la suite.
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L'action à la guerre ressemble à un mouvement dans un élément qui alourdit les mouvements.
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Un avantage médiocre ne lui aurait servi de rien, et seule une victoire absolument complète, plus belle que toutes les précédentes, lui ouvrait l'espérance d'un meilleur avenir.
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Videos de Carl von Clausewitz (4) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Carl von Clausewitz
Confrontée à la guerre, la philosophie semble intempestive, à contre temps. Elle se déploie quand la guerre n'est pas encore là, tentant de retenir tout ce qui pourrait prolonger la paix, ou quand la guerre n'est plus là, s'escrimant alors à penser la «réparation», panser les blessures, accompagner les deuils, réanimer la morale, rétablir la justice. Lorsque «la guerre est là», lorsque fusils d'assaut, bombes et missiles éventrent les immeubles, incendient fermes, écoles, hôpitaux et usines, rasent des quartiers entiers, laissant sur le sol carbonisé enfants, hommes et femmes, chiens et chevaux, lorsqu'on est contraint de vivre tremblant dans des caves, lorsqu'il n'y a plus d'eau potable, lorsqu'on meurt de faim et de douleur – eh bien la philosophie ne trouve guère de place dans les esprits. Peut-être est-ce là la raison pour laquelle il n'y a pas une «philosophie de la guerre» comme il y a une «philosophie du langage» ou une «philosophie de l'art», et que le discours de la guerre renvoie plus aisément à la littérature ou au cinéma, aux discours de stratégie et d'art militaire, d'Intelligence, d'histoire, d'économie, de politique. Pourtant – de Héraclite à Hegel, de Platon à Machiavel, d'Augustin à Hobbes, de Montesquieu à Carl von Clausewitz, Sebald Rudolf Steinmetz, Bertrand Russell, Jan Patoka ou Michael Walzer – les philosophes ont toujours «parlé» de la guerre, pour la dénoncer ou la justifier, analyser ses fondements, ses causes, ses effets. La guerre serait-elle le «point aveugle» de la philosophie, la condamnant à ne parler que de ce qui la précède ou la suit, ou au contraire le «foyer» brûlant où se concentrent tous ses problèmes, de morale, d'immoralité, de paix sociale, d'Etat, de violence, de mort, de responsabilité, de prix d'une vie?

«Polemos (guerre, conflit) est le père de toutes choses, le roi de toutes choses. Des uns il a fait des dieux, des autres il a fait des hommes. Il a rendu les uns libres, les autres esclaves», Héraclite, Frag. 56) #philomonaco
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