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Critique de mauriceandre


Terre Brûlée
Ce n'est pas la guerre, c'est la famine, amenée par un virus mutant qui s'attaque aux graminées (céréales et herbages) qui provoque la fin de notre civilisation .
Car si le premier maillon de notre chaîne alimentaire venait a disparaître il ne faudrait guère de temps pour que l'homme redevienne un animal
David Custance et sa famille tentent par leur prévoyance personnelle d'échapper au sort commun, par le retour à un gîte champêtre protégé (un abri catastrophe)
On assiste à la lente montée des périls : analyse lucide de l'égoïsme de chacun, la transformation du brave ingénieur en chef de meute prés à tout pour sauver sa famille et les quelques rescapés qui se sont joint a eux.
Un très bon roman post-apocalyptique que j'ai lu dans les années quatre vingt dans le N°55 du Club du livre d'anticipation et cela grâce a la traduction d'Alain DORÉMIEUX

L'Hiver éternel
Dans ce roman post-apocalyptique paru au C l'A en 1975 et traduit par Alain Dorémieux nous assistons a une baisse significative des températures occasionnant une nouvelle période glaciaire.
Andrew Leedon, dit Andy, vit avec Carol à Londres et grâce à l'amitiè de David Cartwell, un scientifique qui les a prévenu, ils seront parmi les premiers blancs a se réfugiés à Lagos, au Niger, en un délai suffisant pour se rendre compte à quel point le coeur de Londres a déjà changé. Déjà, l'on se déplace en voiture blindée pour aller au travail. Déjà, les soldats, qui ont pris la relève des policiers, sont quotidiennement en butte à l'hostilité de la foule, déjà l'anarchie et l'effritement des structures sociales se font sentir.
A Lagos, Andy et Carol ne sont plus que des réfugiés climatiques, ils passent pour des citoyens de seconde zone, sans argent, sans avenir, méprisés et maltraités par des Noirs arrogants et revanchards.
si vous lisez ce roman vous connaîtrez la suite qui est formidable.
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