Merveilleux
François Cavanna, anarcho au coeur tendre, débordant d'amour et d'humour, en guerre éternelle avec les "cons" (Vaste programme aurait dit le Général). Prince de la dérision, qu'il exerce d'abord vis à vis de lui même, ce qui, par les temps qui courent est d'une rare élégance, il a, parfois - souvent - la formule vacharde mais toujours à l'endroit des puissants, ce qui, par ces temps qui rampent, est d'un rare courage. Rabelaisien en diable, le cul ne le rebute pas (oh non) et, s'il est vert, il n'est jamais vulgaire, maniant en outre avec une extrème habileté cette langue qu'il a tant aimée. Tu nous manques, François.
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