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Critique de Alfaric


Ce tome 7 commence par le naufrage de Narvarth (raconté par de très baudelairiens phylactères ^^), puis par un règlement de compte entre Ennak et Léah, puis par Krurgor qui passe à table et nous raconte nous histoire…


Les naufragés de l'île mené par Klautz s'échappent sur un frêle esquif pour mieux se faire reprendre par les pirates de Khengis (on se demandera d'ailleurs comment celui-ci est passé du pôle à l'équateur en aussi peu de temps avec des moyens conventionnels… ^^). Seule Lhi parvient à s'échapper pour aller prévenir la team Granite. Les Ythes veillent au grain tout le monde repasse par la case naufrage sauf Khengis qui est mis à mort car devenu inutile…
La team Granite d'ailleurs est un peu enquiquinée sur les bords : elle ne sait plus que faire des joueurs qui ont rendu les armes, et de Narvarth qui a muté en nouvelle sorte d'hybride humain/skopendre et qui a vampirisé le trempeur Fraine pour s'emparer de ses pouvoirs…
Mais on n'a pas le temps de bavasser : on utilise un téléporteur pour aller s'équiper dans la cité de Duorne… pour mieux revenir botter leurs fesses aux pirates et délivrer leurs compagnons d'infortune. La bataille bat son plein et Granite utilise ses pouvoir pour immole par le feu quand qu'un nouveau vaisseau s'écrase sur Ythaq… Sauf qu'il s'agit cette fois-ci d'un navire de guerre !


On navigue clairement entre deux eaux : les auteurs ne pas savant pas trop où aller nous ont donc pondu un tome de transition dans toute sa splendeur assez éloigné des débuts de la série. Sinon je n'ai pas compris pourquoi dans une BD SFFF mainstream on insistait sur des aliens patibulaires voulant violer une nymphette préadolescente en tenue légère… D'autant que la thématique du viol est abordée en phylactères ou en images à plusieurs reprises au cours de ce tome… Un dévoiement de la malédiction boobesque propre à Arleston ?
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