Aya de Yopougon, tome 2

Adjoua a enfin accouché de son petit garçon dont le père est censé être Moussa. Mais les parents de ce dernier, les Sissoko, riches industriels qui ne voient ici que l'appât du gain, refusent de le croire. Et malheureusement pour Adjoua, le bébé ne ressemble pas du tout à son papa. Au contraire, il est le portrait craché de Mamadou, le grand séducteur de Yopougon.
Drôle d'ultimatum pour les parents d'Adjoua : ils doivent trouver au moins un membre de leur famille qui ressemble au bébé. Et les voilà partis à travers Abidjan et ses environs pour trouver le père idéal... Ils feront alors une bien étrange découverte...
Pendant ce temps, trop affairée à se promener ou vendre ses claclos, Adjoua confie de plus en plus son enfant à Aya qui se ravit de cette nouvelle occupation.
Quant à Bintou, elle s'est entichée d'un Parisien de passage qui lui promet monts et merveilles... Cela ne cache-t-il pas quelque chose ?

Le dépaysement est toujours là et quelle joie de retrouver Aya et ses amis. Après un premier tome des plus prometteurs, mon plaisir fut bien là à la lecture de cette seconde aventure. Plus ancré sur fond social, cet album, tout comme le premier, se déguste avidement. L'on passe de passages plus émouvants à des passages plus légers.
Marguerite Abouet a su tisser des liens étroits entre nos trois héroïnes et le lecteur n'attendant plus qu'avec grande impatience la suite de ces singulières péripéties ivoiriennes.
Le travail de Clément Oubrerie est toujours aussi agréable, sympathique et coloré.
Avec cette fois, le recette du Kédjénou et la technique pour porter bébé sur le dos. Toujours instructif !

Aya de Yopougon... koutoubou ! Comme c'est bon !

C'est toujours un plaisir de se plonger dans les aventures d'Aya de Yopougon. Nous suivons les intrigues du quartier et de son père, les espoirs de ses amies. Ces femmes développent une grande naïveté face aux mensonges des hommes sans scrupules qu'elles fréquentent. L'humour, toujours présent nous apprend que Château Rouge est un des plus beau quartier de paris. J'ai apprécié la maîtrise du dessin, coloré et vivant.

Aya aya, me revoilà !
Quel bonheur de retrouver la côte d'ivoire et aya de Yopougon !
Dépaysement encore une fois réussi !

Et les aventures continuent.....
Mais dans ce tome 2, on n'est pas trop à la fête. Il va falloir prendre ses responsabilités. Koutoubou. ! Un bébé a vu le jour et il va falloir s'en occuper. Heureusement, les filles s'entraident parce que les djos, il ne faut pas trop compter sur eux...

Une merveille, cette série !
La vie quotidienne des habitants, et surtout des habitantes de Yopougon, est un vrai régal de lecture. C'est frais, sensible, et vivifiant. Dans ce tome, les problèmes sont un peu plus sérieux mais les jeunes balayent tout cela d'un revers de la main. Enfin,.., il n'y a pas que les jeunes qui font des bêtises....

A moi, le tome 3 : Aya, j'arrive !
Je ferais bien un kédjénou de poulet moi ... Et oui, toujours une petite recette à la fin, un petit lexique et quelques astuces, bien sympathiques !

Nous retrouvons Aya et les habitants de Yopougon dans un voyage au coeur de la Côte d'Ivoire et de la culture africaine. Marguerite Abouet développe, toujours avec humour et réalisme, plusieurs intrigues, dans lesquelles la discrète et sage Aya passera plutôt au second plan, et qui se regroupent principalement autour du thème de la condition de la femme.


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Aya de Youpougon est un livre très pertinent . C'est une bd très inspirante , au quel j'ai pu apprendre la vie des habitant d'abidjant a l'époque ,qui n'est pas forcement la même aujourd'hui. Ce que j'ai beaucoup apprécier c'est le petit dictionnaire a la fin du livre qui m'a permit de lire le livre facilement. Les recettes traditionnelles m'on aussi beaucoup plu . Je suis satisfaite d'avoir lu ce livre époustouflant.

Voilà donc tout le monde parti à la recherche d'une personne qui pourrait ressembler au bébé.
Toute cette équipée m'a bien fait rigoler jusqu'à l'affrontement final avec la famille de Mamadou.


Ça m'a fait plaisir de retrouver les trois filles et leurs aventures à Yop City.
Bintou continue à chercher l'amour (riche, de préférence), Aya est plongée dans ses études et Bintou jongle entre son bébé et son travail au marché.
Le tout sur fond d'élection de Miss Yopougon qui s'approche.

Au delà des filles, j'ai aussi apprécié retrouver les personnages secondaires, très nombreux, comme Hervé, qui tente d'apprendre à lire et à compter, ou Félicité, l'adorable petite bonne.
Même Albert, avec ses mystérieux rendez vous nocturnes, a réussi à m'intriguer.

J'ai hâte de lire la suite !
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Dans ce deuxième volume des aventures d'Aya, on entre plus encore dans la connaissance des personnages présentés dans le premier volume. Hervé le mécanicien pas très malin est toujours aussi béat d'admiration pour Aya. Elle est, il faut dire, la fille la plus formidable de Yopougon. Belle, intelligente, ambiteuse, et toujours là quand ses copines ont besoin d'elle. A travers son regard on en apprend énormément sur La Côte d'Ivroire. Cet album est encore plus formidable que le premier. Je vous le conseille : un bel album avec des illusrattions qui m'ont beaucoup plu. le texte est magnifique aussi avec ce français africain si savoureux. Et à la fin on apprend comment il faut faire pour nouer son pagne dans le but de porter son bébé. Je ne sais pas si j'oserai le faire un jour ! Et puis il y aussi la recette du Kédjénou de poulet. J'ai essayé de le faire et mmmmh c'est délicieux!

De nouveaux problèmes animent le quartier de Yopougon, à Abidjan. Les Sissoko refusent de croire que leur fils Moussa est le père du bébé d'Adjoua. Cette dernière se retrouve toute seule pour s'occuper de son fils et profite –un peu trop– des talents de nounou d'Aya. Bintou, elle, est tombée amoureuse d'un Parisien en vacances et n'a plus de temps à consacrer à ses amies. Comme les Ivoiriens boivent de moins en moins de bière, la Solibra va mal et le père d'Aya doit abandonner son second bureau à Yamoussoukro. Mais bientôt les filles n'ont plus qu'une idée en tête: se préparer pour le grand concours de Miss Yopougon…».

Dans ce deuxième tome, on retrouve évidement tous les personnages rencontrés dans le premier: Aya, Bintou, Adjoua, Moussamais aussi de nouveaux personnages tout aussi haut en couleur, et le quartier de Yopougon. On retrouve également les couleurs qui animent à elles seules cet album, cette ambiance africaine qui apporte la bonne humeur car chaque problème trouve sa solution.


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Dans la suite de cette saga, on est toujours autant plongé dans une Afrique authentique et j'adore ça, les expressions utilisées par Aya et ses amies, les traditions, l'Homme qui en prend pour son grade, le tout avec un humour tendre. On découvre la place de la femme dans la société. le personnage d'Aya est également toujours aussi attachant, elle est raisonnable, sérieuse, aimable…
Les illustrations sont très colorées.
J'ai hâte de découvrir la suite.
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Aya de Yopougon, BD prêtée par ma marraine que je remercie.
Je ne lis quasiment jamais de BD, cela m'a changée et j'en suis ravie. Aya, c'est l'Afrique (la Côte d'Ivoire) vécue. Pas celle des chiffres aux informations, des guerres, des famines et autres calamités. C'est la vie au jour le jour, dans les années 1970-80. On suit trois adolescentes bien dans leur peau, grandes gueules, diverses, aimant la vie et voulant en tirer le maximum. Elles se cherchent, cherchent un mari ou cherchent le moyen de faire des hautes études. Elles ne veulent pas d'un homme qui serait comme leur père macho et infidèle, elles échappent ou pas aux hommes qui ne pensent qu'à ça, elles essaient de maîtriser ce «jeu», mais leur société est dirigée par et pour les hommes qui sont pourtant si faibles et si peu dignes de confiance.
Le langage est absolument délicieux, d'ailleurs l'auteure nous offre un petit lexique à la fin. Les dessins sont parfaits. Une très belle immersion dans un continent, un pays, un quartier, une société différente, dure, attachante, où l'on sait rire et s'épauler aussi.
Aya de Yopougon, de Marguerite Abouet et Clément Oubrerie