AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

Découvrez les meilleures listes de livres


L'art du pastel
Liste créée par Dossier-de-l-Art le 30/11/2017
18 livres. Thèmes et genres : art , beaux-arts , pastel , exposition temporaire , petit palais

Le Petit Palais met du 15 septembre 2017 au 8 avril 2018 le pastel à l'honneur. Une belle occasion de se pencher sur cette technique, les artistes qui l'ont pratiquée en virtuoses, et les chefs-d'œuvre qu'on lui doit.

illustration : Charles-Lucien Léandre, Sur Champ d'or, 1987. Détail. Photo service de presse © Petit Palais / Roger-Viollet



1. L'Art du pastel
Dorothea Burns
"Mariage d'amour de la couleur et du dessin" (José-Maria de Heredia), le pastel fascine par sa texture crayeuse et par l'éclat de ses teintes. Conçu au départ pour réhausser les dessins, le pastel gagne peu à peu ses lettres de noblesse et devient un art à part entière. A travers une somptueuse iconographie, cet ouvrage retrace pour la première fois l'oeuvre des principaux artistes qui ont haussé le pastel au rang d'art majeur entre le XVIIIe et le XIXe siècle : Maurice Quentin de La Tour et ses portraits plus vivants que nature, Jean-Etienne Liotard et sa précision captivante; un siècle plus tard, Edgar Degas et ses danseuses aux tutus éclatants comme des bouquets, ou encore Odilon Redon et ses couleurs irradiantes, nourries à la source du rêve et de l'imagination. A côté de ces pastellistes renommés, cet ouvrage met en lumière une pléiade d'artistes qui grâce au pastel s'aventurent hors des sentiers battus : Joseph Vivien, Adélaïde Labille-Guiard, Gustav Lundberg, John Russell, Eugène Boudin, Jean-François Millet, Giuseppe de Nittis, Edouard Manet, Berthe Morisot, Mary Cassat, James McNeill Whistler, William Merritt Chase, Louise Breslau, Fernand Khnopff...
2. Dossier de l'art, n°254 : Le pastel : histoire, technique, chefs-d'%u0153uvre
Dossier de l'art
4.50★ (1)

Devenu tardivement un procédé autonome, le pastel est tout en contradictions : tour à tour mat et scintillant, ligne et couleur, esquisse ou œuvre à part entière. Cette technique subtile, « mariage d’amour de la couleur et du dessin », offre aux artistes une grâce singulière aux variations infinies. Ce dossier propose de découvrir en détail la technique du pastel et les artistes s'étant distingué par sa maîtrise du XVIIIe à nos jours.
3. Esquisses, pastels et dessins de François Boucher dans les collections privées
Françoise Joulie
5.00★ (2)

Issus de collections particulières, et pour la plupart inédits, les esquisses, pastels et dessins de François Boucher illustrent brillamment la diversité de son talentet son étonnante maîtrise des techniques les plus variées. Vers 1745, sous l'influence de Madame de Pompadour, les thèmes religieux font son succès. La femme et l'enfance sont aussi une source féconde d'inspiration. Des pastorales dans la lignée de Watteau aux scènes mythologiques, ces dessins de François Boucher révèlent ici un univers sensuel et délicat où rivalisent sans cesse la grâce et l'invention.
4. Maurice Quentin de la Tour
Christine Debrie
La marquise de Pompadour, Louis XV, François Dachery, Jean Restout, Jean-Jacques Rousseau... Autant de portraits délicats réalisés au pastel, autant de portraits brossés par Maurice-Quentin de La Tour (1704-1788). La Tour, ou le peintre de la famille royale, celui des personnalités de la cour de Versailles, de la fine fleur de la noblesse française. Prince du pastel et grand maître des crayons, il a toujours su capter l'âme de ses modèles. Or, pour être peint par La Tour, il fallait avoir de l'esprit, précisément parce que l'artiste ne se posait devant son chevalet qu'inspiré par son modèle. Et ni la naissance, ni le haut rang, ni même la fortune ne permettait de contrevenir à ce principe. Artiste difficile et exigeant, complexe et contradictoire s'il en est, promoteur de son ?uvre ponctuée d'importantes commandes passées par les fermiers généraux et l'aristocratie, La Tour a laissé nombre de toiles, exposées dans les plus grands musées du monde. C'est tout l'intérêt de les voir rassemblées ici, dans une première monographie conduite à quatre mains, celles de Christine Debrie et de Xavier Salmon, tous deux conservateurs.
5. Maurice Quentin de La Tour : Le voleur d'âmes
Xavier Salmon
5.00★ (4)

" Vous regardez ce qu'il y a sur le papier, quelques coups de crayon de couleurs heurtées, de larges lumières à la craie, des balafres de sanguine et de noir, rien que cela, et c'est une tête. Vous regardez toujours : cette tête vient à vous, elle sort du cadre, elle s'enlève du papier et il vous semble n'avoir jamais vu dans aucun dessin de n'importe quelle école une pareille représentation d'une figure, quelque chose de crayonné qui fût autant quelqu'un de vivant. " Les mots des frères Goncourt demeurent d'une étonnante modernité. Le choix de pastels réunis au château de Versailles à l'occasion du tricentenaire de la naissance de Maurice Quentin de La Tour en apporte une preuve éclatante.
6. Jean-Baptiste Perronneau : Portraitiste de génie dans l'Europe des Lumières
Dominique d' Arnoult
5.00★ (4)

Artiste phare de l'Europe des Lumières, Jean-Baptiste Perronneau (vers 1715-1783) en a saisi Ies principaux traits au gré de ses voyages, en France et aux Pays-Bas, à Londres, dans les principautés allemandes et au-delà, en quête de modèles qui, aujourd'hui, incarnent bien mieux l'esprit du temps que ceux de ses confrères exécutés dans les cours européennes. Animé d'un insatiable désir de traduire avec véracité l'éclat d'un regard, les multiples nuances d'un visage, les textures du vêtement. Perronneau conçoit l'art du portrait, au pastel ou à l'huile, différemment de ses contemporains. Peintre de la ressemblance, restituant toute la saveur de ces individus qui construisent l'Europe - négociants "amateurs" d'art, artistes des académies, financiers, nobles, administrateurs ou financiers éclairés de ce monde émergent -, Perronneau s'inscrit dans une histoire de l'art qui dépasse l'histoire du portrait : suivant le cursus honorum qui le conduit à être reçu en 1753 à l'Académie de peinture et de sculpture de Paris, il s'en détache aussitôt en s'affranchissant des codes du portrait d'apparat pour mieux satisfaire à son art de la couleur et de la touche. C'est d'ailleurs sous sa figure tutélaire que les impressionnistes se placeront, un siècle après sa mort, pour explorer toutes les possibilités qu'offre le pastel et percer les secrets de l'éclat de leurs modèles.
7. Élisabeth Vigée Le Brun
Geneviève Haroche-Bouzinac
3.60★ (20)

Peu de femmes artistes auront connu une carrière aussi éclatante que celle de Louise Elisabeth Vigée Le Brun (1755-1842). Encouragée par son père, pastelliste, elle manifeste dès l'enfance une grande aptitude à la couleur. A vingt ans, elle est déjà une portraitiste réputée auprès de la noblesse qui apprécie ses portraits à la fois ressemblants et flatteurs. Sa rencontre avec Marie-Antoinette en 1777 est déterminante. Elle devient le peintre officiel de la reine avec laquelle elle tisse des liens familiers. En 1789, contrainte à l'exil, elle voyage en Italie, en Autriche puis en Russie. Accueillie par les grandes cours d'Europe, elle acquiert une renommée internationale. De retour en France en 1802, puis séjournant en Angleterre et en Suisse, elle ne cessera de peindre jusqu'à sa mort en 1842. Son oeuvre compte plusieurs centaines de tableaux dont une majorité de portraits où se côtoient la société aristocratique européenne, le monde des arts et du théâtre, l'univers enfantin. Illustré d'une quarantaine d'oeuvres majeures, choisies parmi les cent trente tableaux de l'exposition au Grand Palais, cet ouvrage retrace le parcours d'une femme d'exception, sans doute l'un des plus grands peintres de son temps.
8. Dossier de l'art, n°232 : Madame Vigée Le Brun
Dossier de l'art
4.00★ (7)

Plus de cent trente œuvres ont été réunies au Grand Palais pour un hommage historique à Élisabeth Vigée Le Brun. Issues pour beaucoup de collections particulières, venues notamment de Saint-Pétersbourg, Florence, Vienne ou New York, elles retracent la carrière prodigieuse de l’une des plus illustres portraitistes du XVIIIe siècle français.
9. L'art du pastel de Degas à Redon
Gaëlle Rio
4.40★ (14)

"Pastel (n. m.): Genre de peinture pour lequel on emploie des crayons ou pâtes de diverses couleurs. Ces pâtes sont tendres, faciles à se pulvériser et telles que l'artiste peut les employer, tantôt comme le crayon ordinaire pour tracer des contours et des hachures plus souvent encore en les écrasant pour les étendre sur le papier avec le doigt. C'est toujours sur papier, et sur un papier un peu grenu, que l'on peint en pastel." Cet ouvrage réunit l'ensemble de la collection des pastels du Petit Palais, riche d'un corpus exceptionnel de plus de deux cents oeuvres de Gauguin, Berthe Morisot, Renoir, Degas, Redon... Il offre un large panorama des principaux courants artistiques et des grands pastellistes de la seconde moitié du XIXe siècle.
10. Le mystère et l'éclat : Pastels du musée d'Orsay
Musée d' Orsay - Paris
3.83★ (5)

Le musée d'Orsay abrite plusieurs centaines de pastels réalisés de 1850 à 1914. Parmi eux, des chefs-d'oeuvre, exécutés par les plus grands pastellistes de la période : Millet, Manet, Degas, Redon ou Lévy-Dhurmer. Dans l'histoire du pastel, le XIXe siècle aura été le temps de la renaissance et de la révolution permanente. Alors que les générations qui suivent Quentin de la Tour (1704-1788) se détournent, pour la plupart, de ce médium et de ses charmes suspects, les romantiques et les premiers réalistes retrouvent sa pratique. Autour de 1850, le pastel revient en force. Des feuilles de Millet et de Puvis de Chavannes jusqu'aux voluptueuses d'Aman-Jean et de Paul Helleu, témoins du monde de Proust, le succès du pastel va s'amplifiant. Degas et Manet y trouvent le moyen d'accomplir l'unité parfaite entre le sujet et le médium, tandis que Redon plie cette technique à son désir de faire irradier ses sujets pour accroître leur mystère. Ainsi, avec le pastel, se réalise la fusion du dessin et de la couleur pure, de la forme et de sa dissolution, de l'image et de sa vibration infinie.
11. Jean-François Millet : Pastels et dessins
Laurent Manoeuvre
3.67★ (9)

"Tout art est une langue, et une langue est faite pour exprimer ses pensées." Jean-François Millet "(...) Millet s'impose comme l'un des principaux peintres du XIXème siècle. Il est plus encore un remarquable dessinateur." Laurent Manoeuvre 87 portraits et paysages (crayon, pastel, aquarelle, fusain, craie, plume, mine de plomb) du maître de Barbizon (1814-1875), exécutés entre 1841 et 1871 dont un Autoportrait en buste. Choix et Préface de Laurent Manoeuvre, ingénieur de recherche à la Direction des Musées de France.
12. Dossier de l'art, n°253 : Jean-François Millet
Dossier de l'art
5.00★ (1)

Près de 120 peintures et dessins de Jean-François Millet sont réunis au Palais des beaux-arts de Lille pour une rétrospective attendue depuis plus de quarante ans en France. Mêlant œuvres illustres et méconnues, le parcours éclaire la complexité d’une peinture qui, bien au-delà de la simple imagerie paysanne, tend à capturer l’essentiel de la terre et des hommes. Sous le titre « Millet USA », sont réunies également à Lille une centaine d’œuvres pour évoquer l’immense postérité de Millet aux États-Unis. Peintures, dessins, photographies et extraits de films explorent par quels chemins l’œuvre du peintre, admiré de son vivant outre-Atlantique, est entré dans l’imaginaire collectif américain et le nourrit depuis plus d’un siècle.
13. Degas Danse Dessin
Marine Kisiel
2.00★ (4)

Cette exposition hommage à Edgar Degas (1834 -1917) trouve son fil conducteur dans un ouvrage de l'écrivain, poète et penseur Paul Valéry (1871-1945), Degas Danse Dessin. Il s'agit, d'une part, de présenter Degas et Valéry à travers des documents figurés et des documents d'archives. Sont évoqués, d'autre part, à travers de nombreux dessins du premier et les fameux carnets du second, l'importance de ces productions qui ont été, pour l'un et l'autre, le creuset de leur art. À ce titre, une place particulière est faite à la genèse de Degas Danse Dessin. Enfin, les thèmes majeurs explorés dans Degas Danse Dessin sont présentés par l'association d'extraits choisis du texte de Valéry à des œuvres - dessins, peintures et sculptures - de Degas.
14. L'objet d'art - HS, n°119 : Degas Danse Dessin
L'Objet d'Art
L’ouvrage de Paul Valéry sur Edgar Degas, paru à la fin des années 1930, sert de trame à une exposition au musée d'Orsay remémorant les liens entre les deux hommes et l’admiration de l’écrivain pour le travail de l’artiste. Une admiration qui a notamment trait à l’un des fondements de cet œuvre : le dessin, magnifiquement mis en valeur dans ce parcours.
15. Odilon Redon (1840-1916) : Le Prince des Rêves
Michael Gibson
3.92★ (41)

Célébré par Huysmans et l'ensemble de la génération symboliste, Odilon Redon (1840-1916) est un maître du symbolisme au même titre que Gustave Moreau. D'un tempérament réservé et timide, Redon a fait un art envoûtant et mystérieux qui lui a valu le titre de «Prince du Rêve» à une époque dominée par l'impressionnisme. Initié aux secrets de l'estampe par Rodolphe Bresdin, il a d'abord développé une oeuvre graphique d'une profonde noirceur par le biais de fusains et d'albums lithographiques diffusés dans les cercles parisiens et bruxellois entre 1879 et 1899. Pour accompagner la grande rétrospective consacrée à Odilon Redon (1840-1916) l'ouvrage présente les 200 oeuvres exposées et leurs légendes.
16. Dossier de l'art, n°183 : Odilon Redon, prince du rêve
Dossier de l'art
5.00★ (6)

Dossier de l'Art vous accompagne dans la visite de l'exceptionnelle rétrospective dédiée à Odilon Redon au Grand Palais. Suivant le fil chronologique qui mène des profonds "Noirs" des débuts au déferlement de la couleur des pastels et des grands décors, et à travers quelques-uns de ses chefs-d'oeuvre emblématiques, il vous dévoile une part de l'univers mystérieux de cette immense et singulière figure du symbolisme... Une part seulement, car l'énigme de son oeuvre, sans aucun doute, est et demeure inépuisable. En complément, un bel itinéraire parmi les décors symbolistes parisiens ainsi que la découverte du musée Gustave Moreau.
17. Albert Besnard (1849-1934) Modernités Belle Epoque
Christine Gouzi
Gloire de la peinture française de la Belle Époque, Albert Besnard (1849-1934) a conquis tous les honneurs durant sa longue carrière à force de travail et de créativité. Les grands chantiers parisiens lui offrent la possibilité de renouveler l'art du décor monumental, des murs de l'École de Pharmacie et de la Sorbonne aux plafonds de l'Hôtel de Ville, du Petit Palais et de la Comédie-Française. Le recours à des thèmes modernes, le symbolisme de son langage et la flamboyance de sa palette imposent sa puissante originalité. Besnard est aussi le peintre de la beauté féminine, qu'il s'agisse de portraits intimes au pastel, de nus sensuels ou d'effigies mondaines dont il est un auteur recherché. Voyageant en Algérie et aux Indes, il livre également une vision personnelle d'un Orient âpre et envoûtant, d'une brûlante féérie. Un Besnard plus secret se révèle enfin avec sa pratique de la gravure, qui lui permet d'aborder des sujets plus graves, les émotions existentielles de l'homme face à la mort, et montrer ainsi toute la complexité de sa personnalité et de son art.
18. L'objet d'art - HS, n°102 : Albert Besnard
L'Objet d'Art
5.00★ (2)

Ses œuvres sont conservées dans les plus grands musées à travers le monde, il a décoré des lieux aussi fameux que la Comédie-Française et la Sorbonne, pourtant rares sont ceux qui connaissent aujourd’hui Albert Besnard (1849-1934). En 150 tableaux, pastels et gravures, la rétrospective déployée au Palais Lumière d'Évian puis à Paris au Petit Palais s’appuie sur les recherches récentes pour lever le voile sur un décorateur ambitieux, portraitiste prolifique et graveur qui participa aux « modernités » de son temps.
Commenter  J’apprécie          110

Ils ont apprécié cette liste




{* *}