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    Echappee_Litteraire le 27 novembre 2023
    EMEF2021 a dit :

    Voyages_Litteraires  Tu peux mettre un lien pour que je puisse voir ? (trop curieuse) Si tu n'oublies pas de mentionner l'auteur, pas de souci.

    decouvriretlire   Et oui, n'hésite pas à publier sur le groupe !


    En fait le poème ne sortira pas de ce groupe, je voulais juste publier un poème avec une fontaine des fées car c'était très poétique  je ne le mettrais dans aucun site
    Echappee_Litteraire le 27 novembre 2023
    decouvriretlire a dit :

    Un saule pleureur

    Un saule pleure au bord de l'eau,
    Ses feuilles d'argent bruissent dans les airs,
    Ses racines plongent sous les flots,
    Regrettant les morts de la guerre.

    Cette plaie empoisonne la terre,
    Infecte toutes les âmes et les coeurs,
    Déployant haine et colère
    Et multipliant les horreurs.

    Pourquoi en arriver là?
    Pourquoi tous ces drames et carnages?
    Comment a-t-on pu faire ça?

    N'est-ce pas une triste image,
    Que de voir cet arbre solitaire,
    Dernier témoin de la guerre?

    decouvriretlire  

    Voyages_Litteraires  dsl tu l'as déjà lu!

    il faudrait que j'améliore la troisième strophe... dites moi ce que vous en pensez!


    Tres poétique et mélancolique, je ne me suis pas lassé
    Echappee_Litteraire le 27 novembre 2023
    Sous le voile éthéré de la nuit silencieuse,
    La fontaine des Fées s'épanche, mystérieuse.
    Une lueur pâle danse, tissant une toile franche,
    Éclairant les étoiles témoins d'un conte ancien.

    Les ailes des fées caressent une atmosphère douce,
    Le murmure de l'eau résonne en une valse éthérée.
    La fontaine des Fées, gardienne d'une tristesse éthérée,
    Verse ses gouttes d'argent dans une danse égarée.

    Les nymphes, avec grâce, entament leur ballet,
    Embrassant les reflets de leur beauté sincère.
    Un écho de chagrins résonne dans l'air,
    La fontaine des Fées, un havre de douce désespérance.

    Au cœur de la nuit, entre rêve et réalité,
    La fontaine des Fées, joyau de la mélancolique clarté,
    Chante une ballade silencieuse, une poésie féerique,
    Chaque goutte d'eau révèle un éclat de tristesse unique.

    Inspiré du poème d'EMEF2021 .
    Morphil le 27 novembre 2023
    C'est plutôt réussi pour un essai EMEF2021 . Rousseau n'était pas un as en amour. L'amour de l'être plutôt quoique …
    Merci decouvriretlire . Ça ne reste qu'une chanson (je viens encore de faire des retouches. Directement sur le post précédent sinon, je vais noircir des pages pour une vigile). C'est la principale difficulté de l'exercice à il faut que ça colle à la mélodie et que ce soit possible á articuler. Là, j'ai l'impression que je vais y revenir souvent.
    Je crois que je n'ai écrit qu'une seule chanson d'amour en plus de 40 ans. Le reste est soit tactiles, soit sous-jacent. Trop dure si on ne veut pas tomber dans le Barbelivien. Ou collectionner les "l'amour c'est comme… (les bateaux, les cigarettes… Pourquoi pas les tringles à  rideau). J'essaie et je ne vais pas au bout.
    C'est l'unique 

    Au clair de la lune

    Comme un Pierrot funambule
    Quand revient la nuit
    Sur un rayon de lune
    Je viens vers toi mon amie,
    Belle lumière de mon âme obscure
    Qui éclaire ma vie
    Qui sans imposture
    M'ouvre ses bras et me dit

    Viens contre moi
    Qu'on s'aime encore
    Non, ne pars pas
    Reste encore

    Comme un Pierrot funambule
    Au cœur de la nuit
    Le regard de la lune
    Me tire vers toi mon amie
    Corps à corps
    Du blond, de la brune
    De feu et de folies
    Sous un manteau de brume
    Il y a le ciel dans ce lit

    Non, ne pars pas
    Reste encore
    Viens contre loi
    Serre moi fort

    Comme un Pierrot funambule
    Un papillon de nuit
    Je m'endors au clair de la lune
    Près de toi mon amie.
    EMEF2021 le 27 novembre 2023
    decouvriretlire  J'aime beaucoup la dernière strophe.
    Echappee_Litteraire le 27 novembre 2023
    Morphil a dit :

    C'est plutôt réussi pour un essai EMEF2021 . Rousseau n'était pas un as en amour. L'amour de l'être plutôt quoique …
    Merci decouvriretlire . Ça ne reste qu'une chanson (je viens encre de faire des retouches. Directement sur le post précédent sinon, je vais noircir des pages pour une vigile). C'est la principale difficulté de l'exercice à il faut que ça colle à la mélodie et que ce soit possible á articuler. Là, j'ai l'impression que je vais y revenir souvent.
    Je crois que je n'ai écrit qu'une seule chanson d'amour en plus de 40 ans. Le reste est soit tactiles, soit sous-jacent. Trop dure si on ne veut pas tomber dans le Barbelivien. Ou collectionner les "l'amour c'est comme… (les bateaux, les cigarettes… Pourquoi pas les tringles à  rideau). J'essaie et je ne vais pas au bout.
    C'est l'unique 

    Au clair de la lune

    Comme un Pierrot funambule
    Quand revient la nuit
    Sur un rayon de lune
    Je viens vers toi mon amie,
    Belle lumière de mon âme obscure
    Qui éclaire ma vie
    Qui sans imposture
    M'ouvre ses bras et me dit

    Viens contre moi
    Qu'on s'aime encore
    Non, ne pars pas
    Reste encore

    Comme un Pierrot funambule
    Au cœur de la nuit
    Le regard de la lune
    Me tire vers toi mon amie
    Corps à corps
    Du blond, de la brune
    De feu et de folies
    Sous un manteau de brume
    Il y a le ciel dans ce lit

    Non, ne pars pas
    Reste encore
    Viens contre loi
    Serre-moi fort

    Comme un Pierrot funambule
    Un papillon de nuit
    Je m'endors au clair de la lune
    Près de toi mon amie.



    Magnifique poème ! Et bien, même si tu n'as pas beaucoup exploré ce style, tu l'exploites très bien ! Comme tous les styles d'ailleurs 
    Echappee_Litteraire le 27 novembre 2023
    EMEF2021 a dit :

    decouvriretlire  J'aime beaucoup la dernière strophe.


    Ah et que dites-vous de la reprise ? Voulez-vous que je l'enlève ?
    Sous le voile éthéré de la nuit silencieuse,
    La fontaine des Fées s'épanche, mystérieuse.
    Une lueur pâle danse, tissant une toile franche,
    Éclairant les étoiles témoins d'un conte ancien.

    Les ailes des fées caressent une atmosphère douce,
    Le murmure de l'eau résonne en une valse éthérée.
    La fontaine des Fées, gardienne d'une tristesse éthérée,
    Verse ses gouttes d'argent dans une danse égarée.

    Les nymphes, avec grâce, entament leur ballet,
    Embrassant les reflets de leur beauté sincère.
    Un écho de chagrins résonne dans l'air,
    La fontaine des Fées, un havre de douce désespérance.

    Au cœur de la nuit, entre rêve et réalité,
    La fontaine des Fées, joyau de la mélancolique clarté,
    Chante une ballade silencieuse, une poésie féerique,
    Chaque goutte d'eau révèle un éclat de tristesse unique.
    Echappee_Litteraire le 27 novembre 2023
    decouvriretlire a dit :

    Voyages_Litteraires  le tien est féerique tout comme celui de EMEF2021


    Merci Lily !
    Morphil le 27 novembre 2023
    Une seule suggestion sur le strophe 3. Plutôt que "ces drames et carnages", "ces drames, ces carnages". Belle entrée en matière decouvriretlire
    EMEF2021 le 27 novembre 2023
    Ah je ne sais plus suivre le rythme des publications, je mélange tout ! Le temps que j'écrive un post et un autre est venu s'intercaler. Au secours !  (mais c'est tellement gai ...)

    Il faut tout de même rétablir une vérité : c'est Morphil qui a lancé le thème de la fontaine des fées, et elle a fait des petits (la fontaine, pas la fée, mais ça aurait pu être joli aussi)

    je vais prendre le temps de relire vos textes avant d'aller plus loin.

    Bonne soirée,
    EMEF  


    Morphil le 28 novembre 2023
    La fontaine et les fées,  un thème somme toute pas très neuf. Un ode du XXème siècle Par Ange pour l'album Émile Jacotey disait (à peu près...mémoire !!!)

    Jadis
    Avec Pierre et Gladys
    On les voyait passer en robe planche
    Au ruisseau qui traînait nos rêves 
    Vers un écrin de joie
    Nous étions sur la trace des fées 
    C'était au mois de mai
    Vole, blonde tête folle,
    On les voyait quitter leur robes blanches
    Un torrent de cheveux dorés 
    Léchait nos yeux de soie
    Nous étions sur la trace des fées 
    C'était au mois de mai
    J'étais le prince sans carrosse 
    Ma muse pleurait aux étoile 
    Puis je redevins
    Le chien...



    Ange - La trace des fées
    Morphil le 28 novembre 2023
    Et

    Assis au bord de la fontaine 
    Au lointain j'aperçus Pharaon 
    Le chien courait à perdre haleine 
    Les cailloux fuyait sous ses bonds
    Le comte priait au presbytère 
    Les écuyers vantaient fausses prouesses
    Soudain le silence envahit la terre
    Quand s'approcha belle chasseresse
    Jour après jour
    Elle se voulait plus belle 
    Jour après jour
    Panthère ou tourterelle...

    Ange - jour après jour
    Morphil le 28 novembre 2023
    Et tant mieux pour le feu d'artifices. Chaque mot à sa couleur, chaque phrase est une gerbe de fleurs, chaque texte un bouquet sans final
    EMEF2021 le 28 novembre 2023
    Merci Morphil   je ne connaissais pas ... Très beau ! Mais je n'accroche pas trop à la musique.
    La fontaine, les fées : un vieux fantasme qui a traversé les ans (les siècles). Cela doit faire partie de l'inconscient collectif, et fera toujours recette. J'aime beaucoup.

    Belle image sur le feu d'artifices, Morphil   Tu es en verve ces moments-ci, question images poétiques, et ça te va bien. Quelle belle phrase !

    EMEF  


    Morphil le 28 novembre 2023
    Quelques fées, quelques fééries pour une autre fois (piqué à Céline) avant de partir à pas de souris sur la pointe des fées

    Mythique

    Qui est Morgane, qui est Morgause ? Peut-être une ou peut-être deux, un peu beaucoup, sans doute un peu, mères de Mordred et sœurs d’Arthur, quoique… quoique ça ne soit pas si sûr. Les feux de Beltain sont depuis trop longtemps éteints, froids témoins d’une ère de légende. Les belles rebelles nous toisent du haut de leur château. Excalibur n’est pas au fond de l’eau, elle peut jaillir de son fourreau brandit par l’une, ou bien par l’autre, et pourrait vous émasculer si vous cherchiez trop à savoir.
    Viviane connait le secret mais comment le lui demander. Il faudrait retrouver la tour où, emmuré, merlin dort bercé par son rêve d’amour. Il pourrait dire ou trouver les clés d’Avalon et, en prenant le chemin du lac, aller jusqu’à Niniane – à moins que ce ne soit Nimué – pour la soumettre à la question.
    Je vous souhaite bien du plaisir, les fées ne sont pas bonnes tous les jours, elles sont jalouses de leur sommeil, éprises de leur liberté, elles mènent leur monde à la baguette et ont plus d’un tour dans leur sac.
    Êtes-vous si certains de vouloir être encore savants ?
    EMEF2021 le 28 novembre 2023
    Toute une ambiance, Morphil   ... Et il n'y a qu'un pas (de souris ?) entre la fée et la sorcière.

    Je connais des souvenirs
    trop accrochés
    à la mémoire.
    Tous les efforts sont vains
    pour les rendre invisibles.
    Il faut rendre les armes
    et les laisser venir
    les regarder
    les caresser
    apprivoiser
    aimer
    respirer.
    Et puis les prendre
    au creux des mains
    les réchauffer
    souffler doucement
    pour qu’ils s’envolent
    les suivre
    jusqu’au bout de leur chemin
    destination inconnue
    loin
    ...

    EMEF
    Morphil le 02 décembre 2023
    Bonjour petits et grands, venez découvrir les monde fabuleux de mes bisaïeux, venez voir et applaudir leurs exploits sans trucage et sans filet


    C'est une chanson, qui me ressemble...

    Caravane

    A chaque fois que tout est finit,
    Que tous les spectateurs sont partis,
    Toute l’équipe est là, réunie
    Dans la nuit comme toujours.
    On a tous un rôle imparti,
    Seuls les chauffeurs sont endormis,
    On pourra regagner nos lits
    Quand pointera le jour.

    C’est notre vie,
    On l’a choisie,
    Même si parfois
    On se sent las.

    Les gradins sont dans les camions,
    Classés dans l’ordre, faut faire attention,
    Ne vous faites pas d’illusions,
    Y’a pas de magie, là.
    La toile descend le long du mât,
    Les piquets sont rangés par tas,
    Les cordages sont au bon endroit,
    C’est pas n’importe quoi

    Tout le fourbi
    De notre vie,
    Pour les petits,
    Les grands aussi.

    La voilà la bonne aventure,
    Tout est prêt, on prend la voiture,
    On s’ébranle vers notre futur,
    La caravane a de l’allure,

    Et nous aussi,
    Alors on rit,
    C’est reparti
    Pour toute la vie.

    C’est promis, on ne manquera pas,
    Surtout il faut pas rater ça,
    Vous aurez vos yeux éblouis
    Et le cœur à la joie…

    Entrez messieurs, dames,
    Venez vivre un moment inoubliable,
    Découvrez le tout nouveau spectacle
    Avec ces jongleurs, ces clowns, ces trapézistes et ces acrobates,
    Tremblez pour la femme canon,
    Venez admirez le plus célèbre magicien du monde,
    Approchez, approchez,
    Il reste encore quelques places,
    Dépêchez-vous, la vente est bientôt finie,
    Le spectacle va commencer…
    mcd30 le 03 décembre 2023
    Une jolie prose, celle de Christian Bobin

    La dame blanche

    Un poète, c'est joli quand un siècle a passé, que c'est mort dans la terre et vivant dans les textes. Mais quand c'est chez vous, un enfant épris d'absolu, bouclé dans sa chambre avec ses livres, comme un jeune fauve dans sa tanière enfumée par Dieu, comment l'élever ? Les enfants savent tout du ciel jusqu'au jour où ils commencent à apprendre des choses. Les poètes sont des enfants ininterrompus, des regardeurs de ciel, impossible à élever.

    Bonne journée !
    Morphil le 05 décembre 2023
    Hello

    un doute trottant dans ma tête, j'ai fait un test et voici ce que j'ai obtenu en quelques secondes

    Sonnet style Baudelaire sur l'automne en alexandrin (ma demande)

    Dans les jardins d'automne où tout s'éteint,
    Les feuilles tombent en une danse lente,
    Le vent murmure sa complainte amère,
    Et les couleurs se fanent doucement.

    L'air emplit de mélancolie diffuse,
    Le ciel se pare d'un voile grisâtre,
    Et les rayons du soleil, moins ardents,
    Ne font qu'effleurer cette terre lasse.

    Dans le silence, les oiseaux se taisent,
    Les fleurs se fanent sans un dernier cri,
    Et la nature entame sa triste pause.

    Mais malgré tout, l'automne a son charme,
    Car dans ce déclin, la beauté se cache,
    Et l'âme trouve là une certaine arme.

    La réponse de chat GPT

    Vos avis ?
    EMEF2021 le 05 décembre 2023
    "le sonnet est un poème de 14 vers, composé de deux quatrains aux rimes embrassées, suivis de 2 tercets dont les deux premières rimes sont identiques, tandis que les quatre dernières sont embrassées (sonnet italien) ou croisées (sonnet français)." - https://www.espacefrancais.com/le-sonnet/

    Conclusion
    : CHAT GPT ne sait pas appliquer les règles de versification.

    Pour le reste ...

    EMEF





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