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Editions de L`Escampette [corriger]


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Dernières critiques
Après avoir fini mon café, j'ai tout quitté pour ..

Cette lecture me laisse perplexe. Le livre se lit agréablement, mais pour autant je n'ai pas complètement accroché. Peut-être un peu trop cliché à mon goût en roman feel good (ou trop proche d'un autre livre que j'ai lu, l'humour en moins).

C'est probablement le parallèle avec la biographie que le personnage principal est en train de traduire qui m'a déçue, étant beaucoup trop l'écho de son vécu.

En résumer, une lecture qui fait passer le temps, mais que je ne mettrai pas en impératif à lire
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Le livre des éloges

Je connais très peu la littérature argentine aussi j'ai pu avoir du mal à saisir les ellipses et allusions de l'auteur.

Pour autant, et c'est que j'apprécie dans ce type de livres, j'ai pu comprendre les allusions d'Alberto Manguel.

Ce dernier fait l'éloge de la lecture et plus généralement de la littérature. Il revient ainsi sur son propre parcours de lecteurs sud américain, de ses rencontres et de l'importance de toujours prendre le temps de lire ou passer au moins la porte d'une librairie.
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Marcher est ma plus belle façon de vivre



Il y a des moments où l'on chamboule sa liste de lecture et on va piocher dans les dernières recrues.

C'est le cas pour Joël Vernet que j'ai découvert très récemment grâce à des Livres Rances et j'ai voulu me faire une idée. Au hasard du rayonnage en bibliothèque j'ai jeté mon dévolu sur l'un de ses nombreux ouvrages. Il a une cadence d'environ un à cinq livre par an depuis 1985 !

Celui ci paru en 2008 est composé de notes éparses où il n y a pas vraiment de fil conducteur et l'on se laisse porter par la légèreté. Le début " Lettre au voyageur immobile" est un mélange de flashbacks et de moments présents en pleine nature. Puis "L'homme désaffecté" et "La Lumière n'est à personne" sont une succession d'aphorismes dont certains m'ont fait penser à Cioran le coté branlette intellectuelle (parfois) en moins. Avec une douceur exempte de bondieuseries, on se laisse emporter par cette poésie en prose au fil des pages à tel point que je l'ai quasi lu d'une traite.

On finit par divers volets de " La lumière dans les arbres" qui est une sorte de balade entremêlée de souvenirs parfois douloureux et de mélancolie. On atteint une sorte de point culminant sur la fin. Très belle découverte !

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