Le Lombard est une maison d`édition de bande dessinée belge fondée en 1946 par Raymond Leblanc, éditeur de presse belge et créateur du journal de Tintin. La maison s`appelle ainsi en référence à son adresse d`origine : 25, rue du Lombard à Bruxelles. Elle fait partie du groupe Dargaud depuis 2008.
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C'est absolument génial !
Roman graphique sur la gynécologie, on suit une jeune interne qui n'a sincèrement pas envie d'être là et qui va découvrir comment deconsruire ses préjugés, écouter les femmes et prendre soin des corps non pas comme un médecin mais comme un soignant.
C'est bouleversant.
C'est une lecture importance, nécessaire sur un sujet très actuel. On évoque la difficulté de la médecine a prendre en compte la souffrance des femmes. Dans ce roman, on parle d'avortement, de règles, de consentement, de contraception, de ménopause, d'accouchement et de personnes intersexe entre autre. C'est très riche, bienveillant.
J'ai absolument adoré, c'est un coup de cœur !
Roman graphique sur la gynécologie, on suit une jeune interne qui n'a sincèrement pas envie d'être là et qui va découvrir comment deconsruire ses préjugés, écouter les femmes et prendre soin des corps non pas comme un médecin mais comme un soignant.
C'est bouleversant.
C'est une lecture importance, nécessaire sur un sujet très actuel. On évoque la difficulté de la médecine a prendre en compte la souffrance des femmes. Dans ce roman, on parle d'avortement, de règles, de consentement, de contraception, de ménopause, d'accouchement et de personnes intersexe entre autre. C'est très riche, bienveillant.
J'ai absolument adoré, c'est un coup de cœur !
Avec cet album : « Les Dragons de feu » commençaient les aventures de Luc Orient, physicien, de son patron Hugo Kala et de la jolie Lora, leur assitante.
Les premières planches paraissent dans le journal Tintin en 1967. Greg compose des histoires que l'excellent Eddy Paape dessine.
La mode est à la science-fiction et au fantastique. On redécouvre les mondes perdus peuplés de créatures monstrueuses qu'avaient mis en valeur Arthur Conan Doyle et son professeur Challenger ou Edgar Rice Burroughs, on multiple les ouvrages sur les Ovnis de notre lointain passé... Alors que Tintin s'embarque sur le vol 714 pour Sidney.
Mais n'était-ce pas déjà un peu tard en France ?
Cette première partie où Luc Orient part à la recherche d'une pierre mystérieuse en pleine jungle, menacé par son redoutable ennemi Argos et quelques indigènes peu amicaux est assez classique. Cependant, dessins et découpage nous replongent avec plaisir dans le style de ces années, nous faisant oublier la faiblesse de ce premier scénario.
Les premières planches paraissent dans le journal Tintin en 1967. Greg compose des histoires que l'excellent Eddy Paape dessine.
La mode est à la science-fiction et au fantastique. On redécouvre les mondes perdus peuplés de créatures monstrueuses qu'avaient mis en valeur Arthur Conan Doyle et son professeur Challenger ou Edgar Rice Burroughs, on multiple les ouvrages sur les Ovnis de notre lointain passé... Alors que Tintin s'embarque sur le vol 714 pour Sidney.
Mais n'était-ce pas déjà un peu tard en France ?
Cette première partie où Luc Orient part à la recherche d'une pierre mystérieuse en pleine jungle, menacé par son redoutable ennemi Argos et quelques indigènes peu amicaux est assez classique. Cependant, dessins et découpage nous replongent avec plaisir dans le style de ces années, nous faisant oublier la faiblesse de ce premier scénario.
Infirmière à la maison de retraite « Les Coquelicots », Estelle jongle entre les soins, les parties de cartes et les morts solitaires. En tissant des liens forts et intimes avec ses résidents, la jeune femme pourrait perdre pied...
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J'ai beaucoup aimé le fait que ce soit un thème peu abordé : la vision du côté des soignants. Ceux à qui on ne demande pas comment ils vont comme si on perdait le côté humain, comme si ils pouvaient compartimenter leurs émotions quand ils travaillent.
J'ai apprécié le graphisme dans le travail des yeux et de certains regards.
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J'ai beaucoup aimé le fait que ce soit un thème peu abordé : la vision du côté des soignants. Ceux à qui on ne demande pas comment ils vont comme si on perdait le côté humain, comme si ils pouvaient compartimenter leurs émotions quand ils travaillent.
J'ai apprécié le graphisme dans le travail des yeux et de certains regards.
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