Livres populaires
voir plus
Dernières critiques
Un roman simple et efficace, destiné à des lecteurs plutôt jeunes. Mais un roman qui peut aussi faire le bonheur des adultes.
Mon bonheur à moi, ce furent les décors. Souvenirs de vacances, les cyclades et l’île croate de Brac abritent l’aventure de nos 3 jeunes héros et de leurs divers compagnons de route. C’est toujours sympa de cheminer en terrain connu, l’immersion n’en est que plus intense. La très belle couverture renforce tout ça : du bleu, du blanc, voilà les Cyclades !
Mais à défaut de barboter réellement dans les superbes mers Egée et Adriatique, plongeons dans l’histoire que nous propose l’auteur. Ou plutôt dans les deux histoires, les deux tableaux, les deux ambiances, complémentaires mais tellement différentes l’une de l’autre … .
La scène contemporaine se prête à merveille à des lecteurs jeunes : des descriptions rapides, des personnages simples, des évènements parfois un peu « chanceux », un cadre méditerranéen enchanteur, des îles, des plages, des bateaux, des naufragés, une enquête. Tout est là pour déambuler et pour rêver : Pilou, Thais et Quentin naviguent sur les flots et tombent sur un marin échoué en pleine mer, à la recherche de son équipage.
La scène historique, quant à elle, est nettement plus dure, souvent triste, et l’auteur y travaille davantage les sentiments de ses personnages. La seconde guerre mondiale, ses drames, sa noirceur révèlent des passages plus complexes qui peuvent convenir à des lecteurs moins jeunes.
L’ensemble rend une histoire cohérente, encore une fois, parfois, un peu simple car orientée jeunesse, mais au fil de laquelle le lecteur va vouloir percer les secrets de nombre de personnages. Les différentes touches religieuses, qui dépeignent à la fois le contexte grecque de l’époque et les orientations discrète de nombreux jeunes d’aujourd’hui, apportent une fraicheur bien agréable.
En résumé, « Dans le Vent des Cyclades » est d’abord un roman jeunesse : un cadre dépaysant, un style épuré, une conclusion parfaitement attendue, les 200 pages se lisent vite. Pourtant, il s’en dégage une certaine profondeur que les lecteurs plus aguerris pourront également apprécier, avec ces flashs back orchestrés par l’auteur. On n’est certes pas chez Steve Berry, mais on n’est pas non plus au Club des Cinq. Une belle lecture, de beaux souvenirs pour les lecteurs qui auront apprécié un jour le charme des iles cycladiques et dalmates.
Je remercie Babélio, les éditions Pierre Téqui et l'opération Masse Critique pour l'envoi de cet ouvrage.
Mon bonheur à moi, ce furent les décors. Souvenirs de vacances, les cyclades et l’île croate de Brac abritent l’aventure de nos 3 jeunes héros et de leurs divers compagnons de route. C’est toujours sympa de cheminer en terrain connu, l’immersion n’en est que plus intense. La très belle couverture renforce tout ça : du bleu, du blanc, voilà les Cyclades !
Mais à défaut de barboter réellement dans les superbes mers Egée et Adriatique, plongeons dans l’histoire que nous propose l’auteur. Ou plutôt dans les deux histoires, les deux tableaux, les deux ambiances, complémentaires mais tellement différentes l’une de l’autre … .
La scène contemporaine se prête à merveille à des lecteurs jeunes : des descriptions rapides, des personnages simples, des évènements parfois un peu « chanceux », un cadre méditerranéen enchanteur, des îles, des plages, des bateaux, des naufragés, une enquête. Tout est là pour déambuler et pour rêver : Pilou, Thais et Quentin naviguent sur les flots et tombent sur un marin échoué en pleine mer, à la recherche de son équipage.
La scène historique, quant à elle, est nettement plus dure, souvent triste, et l’auteur y travaille davantage les sentiments de ses personnages. La seconde guerre mondiale, ses drames, sa noirceur révèlent des passages plus complexes qui peuvent convenir à des lecteurs moins jeunes.
L’ensemble rend une histoire cohérente, encore une fois, parfois, un peu simple car orientée jeunesse, mais au fil de laquelle le lecteur va vouloir percer les secrets de nombre de personnages. Les différentes touches religieuses, qui dépeignent à la fois le contexte grecque de l’époque et les orientations discrète de nombreux jeunes d’aujourd’hui, apportent une fraicheur bien agréable.
En résumé, « Dans le Vent des Cyclades » est d’abord un roman jeunesse : un cadre dépaysant, un style épuré, une conclusion parfaitement attendue, les 200 pages se lisent vite. Pourtant, il s’en dégage une certaine profondeur que les lecteurs plus aguerris pourront également apprécier, avec ces flashs back orchestrés par l’auteur. On n’est certes pas chez Steve Berry, mais on n’est pas non plus au Club des Cinq. Une belle lecture, de beaux souvenirs pour les lecteurs qui auront apprécié un jour le charme des iles cycladiques et dalmates.
Je remercie Babélio, les éditions Pierre Téqui et l'opération Masse Critique pour l'envoi de cet ouvrage.
Avant tout, merci pour l’envoie de ce petit livre !
On suit ici 2 petits garçons malheureusement malades qui se soignent à Berck.
J’ai passé un plutôt bon moment en compagnie de ces 2 compères.
Étant du Pas-de-Calais, j’étais contente de me plonger dans la ville de Berck!
Côté histoire, je l’ai trouvé assez touchante, douce et pleine d’espoir !
Une bonne lecture.
On suit ici 2 petits garçons malheureusement malades qui se soignent à Berck.
J’ai passé un plutôt bon moment en compagnie de ces 2 compères.
Étant du Pas-de-Calais, j’étais contente de me plonger dans la ville de Berck!
Côté histoire, je l’ai trouvé assez touchante, douce et pleine d’espoir !
Une bonne lecture.
Beaucoup de douceur et de poésie dans ce petit roman malgré la maladie qui est omniprésente au sanatorium.
la Côte d'Opale est bien décrite et bien ressentie on a envie d'aller faire un petit tour là-bas . Un thème récurrent chez Isabelle Davy : la foi rend possible ce qui est humainement irréalisable.
la Côte d'Opale est bien décrite et bien ressentie on a envie d'aller faire un petit tour là-bas . Un thème récurrent chez Isabelle Davy : la foi rend possible ce qui est humainement irréalisable.
Etiquettes
voir plus