Créée par Albert Uderzo en 1979, deux ans après le décès de René Goscinny, les Editions Albert René sont une maison d`édition appartenant au groupe Hachette depuis 2008. La maison d`édition publie les albums d`Asterix.
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Premier album avec un autre dessinateur qu'Albert Uderzo Jean-Yves Ferri et Didier Conrad ont été adoubé par Albert Uderzo et Anne Goscinny pour reprendre le mythique héros gaulois créé par René Goscinny et son acolyte Albert Uderzo. C'est un pari fort qui pour moi est partiellement réussi.
Après la disparition de René Goscinny, je n'ai jamais retrouvé la force de ce scénariste dans les scénarii proposés par son alter ego Albert : les histoires étaient sympathiques à lire mais les scénarii un peu plus légers. Surtout, je n'ai jamais retrouvé la force des dialogues, la justesse des jeux de mots et les références à l'Histoire.
Pour cette album, les auteurs nous font découvrir la Calédonie et ils nous proposent certains clichés comme les peintures sur le corps, les tatouages, les jeux gaéliques. Le graphisme est dans la veine de celui d'Albert Uderzo et on sent à travers certaines scènes sa présence, sa supervision de cet album.
Au fil des pages nous découvrirons l'eau de malt, comme nous avions découvert le merveilleux breuvage qu'est le thé dans Astérix chez les Bretons. Nous découvrirons aussi l'origine du monstre du Loch Ness et le pourquoi de ses apparitions furtives.
Les deux auteurs ont repris la charte imposée quant aux personnages, aux relations entre eux. Les personnages secondaires sont toujours aussi présents. Quant au texte, Jean-Yves Ferri s'est inspiré du maître René Goscinny mais la marche est encore un peu haute même si l'effort est plus que louable.
Astérix et Obélix sont des héros éternels, ce nouvel album ne les dénature pas dans notre inconscient collectif et leur permet de continuer à exister avec l'aval des pères créateurs ou de leurs représentants.
Après la disparition de René Goscinny, je n'ai jamais retrouvé la force de ce scénariste dans les scénarii proposés par son alter ego Albert : les histoires étaient sympathiques à lire mais les scénarii un peu plus légers. Surtout, je n'ai jamais retrouvé la force des dialogues, la justesse des jeux de mots et les références à l'Histoire.
Pour cette album, les auteurs nous font découvrir la Calédonie et ils nous proposent certains clichés comme les peintures sur le corps, les tatouages, les jeux gaéliques. Le graphisme est dans la veine de celui d'Albert Uderzo et on sent à travers certaines scènes sa présence, sa supervision de cet album.
Au fil des pages nous découvrirons l'eau de malt, comme nous avions découvert le merveilleux breuvage qu'est le thé dans Astérix chez les Bretons. Nous découvrirons aussi l'origine du monstre du Loch Ness et le pourquoi de ses apparitions furtives.
Les deux auteurs ont repris la charte imposée quant aux personnages, aux relations entre eux. Les personnages secondaires sont toujours aussi présents. Quant au texte, Jean-Yves Ferri s'est inspiré du maître René Goscinny mais la marche est encore un peu haute même si l'effort est plus que louable.
Astérix et Obélix sont des héros éternels, ce nouvel album ne les dénature pas dans notre inconscient collectif et leur permet de continuer à exister avec l'aval des pères créateurs ou de leurs représentants.
Asterix découvre un enfant devant sa maison. C'est la stupeur dans le village. Alors que les Romains mettent en place des stratagèmes pour récupérer cet enfant, Asterix et Obelix essaient de garder tant bien que mal cet enfant qui a découvert avec plaisir la potion magique....Fin original avec un banquet sur le bateau de Cléopâtre avec la présence de Jules Caesar.
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