Citations de Winston Churchill (249)
Nous devons notre liberté à des hommes qui ne plient pas, ne s'agenouillent pas, ne se soumettent pas.
Vous vous demandez quel est notre but ? Je vous répondrai d'un seul mot : la victoire - la victoire à tout prix, la victoire en dépit de la terreur, la victoire, aussi longue et difficile que puisse être la route ; parce que sans victoire, il n'y aura pas de survie. (P. 13)
La critique peut être désagréable, mais elle est nécessaire. Elle est comme la douleur pour le corps humain : elle attire l’attention sur ce qui ne va pas.
Le succès, c'est aller d'échec en échec sans perdre son enthousiasme.
It is a fine thing to be honest, but it is also very important to be right!
C'étaient quelques minutes avant la onzième heure du onzième jour du onzième mois de l'année 1918.
Je me tenais à la fenêtre [...] en attendant que Big Ben nous annonce la fin de la guerre.
Mon esprit vagabond se reportait par-delà ces années de souffrances à la nuit de tension à l'Amirauté où j'attendais le même carillon pour donner le signal des hostilités [...]
Et maintenant, tout était fini!
Le succès ne dure pas. L'échec ne tue pas. Ce qui compte, c'est le courage de continuer.
Nous dormons dans nos lits d'un sommeil profond parce que dehors, dans la nuit, des hommes sont prêts à faire violence à ceux qui veulent nous nuire.
[Citation trouvé P. 111 du livre Ascendances Histoire(s) de secours en hélicoptère de Pascal Sancho, dans le chapitre Envole-toi...]
"Nous gagnons notre vie avec ce que nous recevons, mais nous lui donnons un sens avec ce que nous donnons."
Mieux vaut prendre le changement par la main, avant qu'il ne nous prenne par la gorge.
On vit de ce que l'on obtient,
on construit sa vie de ce que l'on donne.
repris par Béatrice Delvaux dans son édito "Hommage aux bénévoles inconnus" de ce jour dans le journal "Le Soir".
Rien n'évoque si puissamment le passé qu'une odeur. À défaut d'une odeur, ce qui stimule le mieux la mémoire, c'est un air de chanson. J'ai des airs dans la tête pour chaque guerre à laquelle j'ai participé, et même pour chaque phase critique ou passionnante de ma vie.
Ce n'était qu'un exemple d'une douzaine d'autres lacunes intellectuelles du même ordre que je commençais à éprouver le besoin pressant de combler. Je savais, bien sûr, qu'à dix-neuf ou vingt ans les jeunes gens des universités étaient gavés de tout ce boniment et qu'ils étaient capables de vous poser des questions déroutantes ou de vous donner des réponses tout aussi déconcertantes. Nous ne faisions jamais grand cas d'eux ni de leurs airs supérieurs, nous rappelant qu'ils n'étaient que des rats de bibliothèque, alors que nous commandions des hommes et que nous gardions l'empire. Il m'était néanmoins arrivé d'être parfois jaloux des vastes connaissances que certains d'entre eux semblaient posséder et j'aurais bien voulu maintenant pouvoir trouver un professeur compétent que je puisse écouter et interroger a loisir pendant une heure environ tous les jours.
Mais aujourd'hui, je plains les étudiants, quand je vois quelle existence frivole mènent la plupart d'entre eux, au milieu de tant d'occasions qui passent à leur portée. Après tout, la vie d'un homme doit s être clouée à la croix soit de la Pensée, soit de l'Action. Sans travail, il n'y a pas d'amusement.
Un de mes cousins qui avait sur moi le grand avantage d'avoir poursuivi ses études à l'université, avait coutume de se moquer de moi en me bombardant d'arguments visantà prouver que rien n'a d'existence en dehors de ce que nous pensons. Toute la création n'est qu'un rêve; tous les phénomènes sont imaginaires. On crée son propre univers au fur et à mesure. Plus forte est votre imagination, plus divers est votre univers. Quand on cesse de rêver, l'univers cesse d'exister. Ces amusantes acrobaties mentales constituent une excellente distraction. Elles sont parfaitement inoffensives et parfaitement inutiles. Je tiens seulement à avertir mes jeunes lecteurs de ne les considérer que comme un jeu. Les métaphysiciens auront le dernier mot et vous mettront au défi de réfuter leurs absurdes propositions.
N'acceptez jamais qu'on vous réponde vous résignez jamais à l'échec. Ne vous laissez pas duper par le simple succès personnel ni par la soumission. Vous commettrez toutes sortes d'erreurs; mais, tant que vous serez généreux et sincères, déterminés aussi, vous ne pourrez faire de mal au monde ni même lui nuire gravement. Le monde a été créé pour être subjugué et conquis par la jeunesse. Il ne vit et ne survit qu'au prix de conquêtes successives.
L'honneur, le bon sens, l'intérêt de la Patrie commandent à tous les français libres de continuer le combat, là où ils seront et comme ils pourront.
Aussi, préparons-nous à accomplir notre devoir et à nous conduire de telle sorte que, si l'Empire britannique et son Commonwealth dure mille ans, les hommes diront encore: « Ce fut leur plus belle heure. »
Toute la fureur, toute la puisqance de l'ennemi va bientôt se déchaîner contre nous. Hitler sait qu'il devra nous briser sur cette ile ou qu'il perdra la guerre. Si nous parvenons à lui résister, toute l'Europe pourra être libre, et la terres baignées de soleil. Mais si nous échouons, alors le monde entier, y compris les Etats-Unis, y compris tout ce que nous avons connu et aimé, sombrera dans les abîmes d'un nouvel âge des ténèbres rendues encore plus sinistre, et peut-être plus durable, per les lumières d'une science pervertie. Aussi, préparons-nous à accomplir notre devoir et à nous conduire de telle sorte que, si l'Empire britannique et son Commonwealth dure mille ans, les hommes diront encore: « Ce fut leur plus belle heure. »
En cas de victoire le champagne est nécessaire, en cas de défaite, il est indispensable !