J’habitais le pays du « je t’aime », me voici arrivée dans celui du « je t’aile ». Cette seule lettre échangée ouvre les bras du cœur pour se laisser porter par les airs. Elle souffle de la douceur sur la douleur. Elle invite au lâcher-prise et à l’acceptation, elle flirte en permanence avec la bienveillance. La confiance absolue et la liberté y sont souveraines.