Comme la foudre qui s’abat sur un arbre, elle me fend en deux. Ne laissant derrière son passage que des débris calcinés de mon cœur. Le temps m’a appris à l’aimer. La mort était son amour. Le temps et la mort ont tout repris. Ne reste que l’amour qui, en un claquement de doigts du destin, devient une maladie qui mène à petit feu au suicide de l’âme pour celui qui reste vivant.