Shinichi Ishizuka

Chaque tome est toujours une très bonne lecture dans cette série, mais je dois reconnaitre que celui-ci était un peu plus difficile à lire que les précédents. Les garçons ont formé leur groupe, jouent dans des clubs, mais rien n'est gagné. On rentre un peu dans le ventre mou de l'histoire tandis qu'ils rencontrent leur premier mur à franchir. Il ne suffit pas de bien s'entendre, de s'amuser en jouant et de rencontre un modeste succès pour percer. Yukinori est le premier à s'en rendre compte, lui qui porte le groupe sur ses épaules. Il gère tout et cherche à les propulser mais ce n'est pas un long fleuve tranquille même quand on joue aussi bien que lui ou Dai. J'ai aimé que l'auteur le mette face à ses faiblesses. Ce n'était pas facile mais nécessaire pour le voir grandir. Le revers de la médaille, c'est que le tome est un peu longuet à lire, avec des scènes déjà vues. Le titre conserve ses qualités avec une retranscription folle de la puissance musicale des héros, une passion à toute épreuve et une ascension continue, mais ici on sent qu'il faut à nouveau un bouleversement pour passer à l'étape suivante.
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Des dessins magnifiques sur l'Everest et les montagnes, de nuit... en plein blizzard... pleins de ressentis sur cette si mythique et si dangereuse ascension, les peurs, les doutes, la mort : tout y est réuni. Encore un très bon tome à conseiller aux fans d'alpinisme et d'aventures.

Suite à l'accident de leur ami/collègue chacun se remet en cause et affronte sa douleur et ses doutes à sa manière. Un très bon tome qui donne à réfléchir sur le sens de la vie.

Une mission de sauvetage qui tourne au drame, un suraccident, est si vite arrivé... Un tome poignant où on tourne les pages à toute vitesse, suspense garantit.

Je trouve que la couverture est simple mais donne envie de lire le manga.

Le titre ne donne pas un aperçu de l'histoire et nous donne une fausse idée de l'histoire.

Dai Miyamoto est un personnage simple et ambitieux quand il veut obtenir quelque chose il se surpasse et l'obtient, et a une passion secrète qui est le jazz et est passionné de saxophone.

C'est une belle histoire avec une belle moral qui nous montre que pour réussir il faut persévérer et s'en donner les moyens.



Oussama et Mehdi

L'auteur présente la montagne de façon réaliste...avec ses drames mais aussi ses joies et ses héros! Une lecture agréable et divertissante!

Une bonne lecture entraînante

Une lecture agréable, un personnage attachant... Nous avons très vite envie de le suivre en montagne

Le jeune secouriste nous entraîne sur les Alpes Japonaises à travers ces missions prenant parfois une allure sinistre mais on en redemande!

Un manga bien sympa pour s'évader en montagne

Malgré le fait d'avoir essayé, je n'ai pas réussi a lire ce manga en entier car je n'aime pas trop l'histoire que je trouve trop simple. Le jazz ne m’intéresse pas. C'est donc pour ça que la lecture a été difficile.

Retour avec toute l'équipe de l'APCM pour de nouveaux sauvetages dans les Alpes Japonaises, avec la vie de chacun qui évolue (famille...). Mais ce tome nous rappelle que les accidents arrivent sans prévenir, et pas uniquement aux autres. Un tome qui marque un tournant dans le déroulement de l'histoire.

Nous voici au T9, Sanpo est toujours aussi passionné et plein d'humanité, il réussit à sauver des vies... ou pas... Il conserve sa belle humeur malgré tout. Certains pourraient penser qu'il est un peu "débile", un solitaire heureux. Kumi évolue aussi peu à peu. Elle apprend, cela ne peut pas se faire en un seul jour, ou un seul tome. Elle va finir par aimer la montagne. Elle n'est pas si nunuche que certains l'ont pensé. Bien sûr, en gros, c'est toujours la même chose d'un tome à l'autre : il y a un accident, dû à la bétise humaine, forcément. Sanpo doit aller sauver des gens, il est le seul à pouvoir y arriver, mais ça n'est pas toujours le cas. Bien sûr ce n'est pas le Sommet des Dieux, heureusement, sinon, ce ne serait pas intéressant. C'est la montagne, elle ne dit rien, elle prend beaucoup, elle donne aussi.

Après le Sommet des Dieux de Taniguchi, la série Vertical. Il est donc question de la montagne. Vous pouvez préparer vos mouchoirs et aussi vos éclats de rire. Où l'on suit Sampo Shimazaki alpiniste chevronné, secouriste bénévole et Kumi Shiina, jeune policier débutante. À chaque tome on en apprend un peu plus sur leur vie et sur la progression de Kumi

Ce manga m'a assez plus. J'ai bien aimé les situations périlleuses dans lesquelles se met Kumi.

Ce seinen possède un charme fou ; malgré un dessin assez sommaire, il réussit à nous propulser au cœur des montagnes, et à nous communiquer la passion pour l'alpinisme de Sanpo, sauveteur bénévole dans les montagnes japonaises. Ce manga est ainsi découpé en chapitres concentré sur le sauvetage d'une personne (ou d'un groupe de personnes), mis en difficulté pour diverses raisons dans la montagne. Ces histoires sont réalistes, et parfois cruelles, mais dévoilent la beauté des rencontres que l'on peut faire dans les sommets du monde. Aussi, ces malheureux ne sont jamais jugés sur les risques qu'ils auraient pu prendre dans la pratique de l'alpinisme ou de l'escalade, ce qui permet d'échapper à toute moralisation superflue dans des récits déjà assez touchants, et suffisants en soi, les personnages mettant tant d'efforts à repousser leurs limites, pour eux-mêmes, mais aussi pour les autres. Le lien entre toutes ces histoires est Sanpo, simple dans ses rapports aux autres et tant animé par sa passion qu'il en est empli d'une forme de pureté assez rafraîchissante.

Ce manga n'offre donc pas des enjeux extraordinaires, mais offre une occasion de découvrir un microcosme, habité par une véritable passion, celle de la nature, qui peut hélas mener à la mort. Une jolie découverte.

En lisant la quatrième de couverture, on pourrait s'attendre à une histoire d'amitié liant Sanpo à Kumi. En fait, on voit très peu Kumi dans ce premier tome. Cette série à l'air d'être avant tout une ode à la montagne. On suit Sanpo dans ses escalades, sur différentes montagnes du monde. Sanpo est un jeune homme qui vit seul dans les Alpes japonaises. Il vit dans une tente à flanc de montagne. Il aide les secouristes, bénévolement, lors d'interventions (souvent quand les hélicoptères ne peuvent pas sortir à cause du temps) Dans ces pages, il nous transmet son amour pour la montagne. On sent que l'auteur aime l'alpinisme. Quelques conseils sont également prodigués au fil des pages.

Série intéressante à découvrir.
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Aimez-vous le jazz? Parce que moi non. En tout cas, il y a peu, je ne pensais pas aimer ça. C’est peut-être parce que je prends de l’âge, ou que mes goûts musicaux évoluent, mais j’apprécie de plus en plus le Jazz. Je me suis rendue compte que, comme pour le rock, le jazz peut avoir énormément de branches différentes, et certaines me plaisent davantage que d’autres. Mais c’est pas le sujet.



“𝘑𝘦 𝘴𝘦𝘳𝘢𝘪 𝘭𝘦 𝘮𝘦𝘪𝘭𝘭𝘦𝘶𝘳 𝘫𝘢𝘻𝘻𝘮𝘢𝘯 𝘢𝘶 𝘮𝘰𝘯𝘥𝘦” - 𝘋𝘢𝘪 𝘔𝘪𝘺𝘢𝘮𝘰𝘵𝘰



Je n’ai pas envie de rentrer dans une critique détaillée ou trop poussée. Cette épopée, c’est à vous de la découvrir. Mais je l’ai adorée, du début à la fin.



Les personnages sont attachants, pleins de justesse et surtout très bien écrits. De la fin du lycée jusqu’à la conquête de leurs rêves, j’ai vibré au rythme du saxo de Dai qui est passé de passable à bien plus remarquable. Le regard frais et pleins d’engouement de notre héros sur ce style musical à l’image plutôt fermée a su me donner envie d’en découvrir plus. Je peux vous dire qu’il n’y a rien de mieux qu’un peu de jazz en fond lors de la lecture de cette série!



Au delà de l’aventure humaine, Blue Giant dépeint aussi l’univers impitoyable des artistes et des mains du monde du spectacle. Vivre de son art est compliqué, risqué et s’engager dans la voie musicale ne garantit en rien un avenir brillant, surtout que tout cela ne tient qu’à un fil… Mais il faut oser, se lancer, explorer, s’ouvrir, échouer, recommencer et surtout jouer! L’émotion vient du coeur, comme la musique.



J’ai toujours aimé la musique, et si c’est aussi votre cas, vous devez découvrir Blue Giant.



Petit (gros) plus : les dessins sont somptueux, surtout lorsqu’il s’agit d’illustrer l’impact de la musique sur le public et sur nos protagonistes. Vous en prendrez pleins les yeux, pleins les oreilles et j’en suis sûre, Dai Matsumoto sera le meilleur jazzman au monde.


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Dai continue irrésistiblement de tracer sa route américaine, et on continue de la suivre dans son périple avec énormément de plaisir !
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Dessiner le son ; tel est le défi que se lance le mangaka Shin’ichi Ishizuka avec sa série Blue Giant et sa suite, Blue Giant Supreme (une troisième « acte », Blue Giant Explorer, étant en cours de parution), qui se déroule dans le monde du jazz, style pour lequel l’auteur voue une passion depuis ses études aux États-Unis. Pourtant, c’est du côté des mangas de sport (supokon, en japonais) et de course automobile qu’il va puiser son inspiration. « Quand j’ai commencé à travailler avec M. Katsuki, mon éditeur sur le projet, nous n'avions pas comme références des mangas de musique mais des mangas de courses de voitures, où les choses vont très vite, ou des mangas de sport comme le baseball où le lanceur enverrait une balle très rapidement et le batteur la renverrait avec encore plus de vitesse et de dynamique. » déclare Ishizuka auprès de France Info. Les nombreuses séquences de performances scéniques rendent ainsi compte de cette conception sportive de la prouesse musicale ; par les regards des personnages et leurs gestes musicaux échangés, ils lancent un solo comme ils se lanceraient une balle, courant ensuite à vive allure après le jeu de l’autre. Le trait est vif, explosif, et le découpage, dynamique. Épique, le dessin de Ishizuka parvient à figurer la vitesse, l’énergie et l’intensité de la musique, dessinant une bande-son que chaque lecteur jouera dans sa tête.



Dans une logique sportive toujours, Blue Giant rend également compte de la tension existante dans le milieu de la musique entre le personnel et le collectif. Dans les premiers tomes, le héros, Dai Miyamoto apprend le saxophone en autodidacte et joue en solitaire sur les rives de la rivière Hirose. Mais une fois au sein d’un groupe, les enjeux changent ; la personnalité de jeu doit désormais s’exprimer dans un ensemble, chaque musicien devant jouer pour soutenir l’autre sans l’écraser. Les divergences artistiques et les différences de caractères comme la question du nom de la formation qui traverse par exemple Blue Giant Supreme instaurent ainsi un dialogue permanent entre l’individuel et le collectif, source pour le lecteur de suspens et de plaisir. Ishizuka a par ailleurs lui-même l’intelligence de laisser exister les personnages secondaires en dehors du cadre du groupe formé autour du personnage principal.



En adaptant formule éprouvée – celui du nekketsu – à un univers singulier – le jazz – Shin’ichi Ishizuka signe une série d’exception qui se bonifie de tome en tome.