Exil à Londres
Il rencontre Daubigny, qui a déjà défendu et encouragé le jeune Monet, qui va le sauver en lui présentant un homme providentiel, Paul Durand-Ruel. Des liens se nouent plus rapidement entre exilés. Le marchand d’art organise une exposition annuelle dans sa galerie du 168 New Bond Street et fait découvrir au public anglais la peinture de Monet. L’année suivante il commence à lui acheter des toiles.
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« Voilà un homme qui sera plus fort que nous tous… Achetez ! » C’est en ces termes que Daubigny aurait présenté Monet au marchand Paul Durand-Ruel.