Résiste à toi-même. A la fin, quand on est seul, c'est avec soi-même.
A mon avis, quand les gens meurent, ils vont dans un lien où on les aime comme on ne les a jamais aimés et toutes leurs souffrances disparaissent.
J'ai aimé ce livre qui est très étrange:
déja à cause du titre et ensuite car il y a 5 "histoires" différentes.
Ce n'est pas vraiment différent car sa se relies mais c'est surtout 5 problèmes différents.
Je les biens aimé et je vous le conseille, moi je le lisais avant de dormir car il ne fait pas du tout peur et qu'il détend.
Les mauvaises nouvelles font vendre les journaux.
Rien ne sert de mentir, il faut parler à temps.
La vie est faite pour explorer, pour expérimenter !
Quel effet ça fait d'être mort ? se demanda-t-il. Personne n'est jamais revenu pour en parler alors comment peut-on le savoir ? Les gens racontent qu'une fois qu'on est mort, on est en paix, mais qu'en savent-ils ? Ils inventent ça comme ils inventent tous leurs autres poncifs.
Son prof de maths, disait qu'à chaque problème il y avait une solution ; qu'il suffisait d'y réfléchir. Il se trompait.
L'amour est un peu comme un brouillon de Van Gogh. Un jour, votre gribouillis sera peut-être considéré comme un chef-d'oeuvre.
C'est horrible de regarder mourir quelqu'un qu'on aime sans pouvoir l'aider !
Se dévaloriser avant que les gens ne la rabaissent avait toujours été sa stratégie.
Le meilleur moyen de faire taire les gens, c'est de leur faire croire qu'il ne s'est rien passé !
Cette fois, il se tiendrait à carreau. Il ne tuerait personne. Sauf lui, peut-être.
Les hommes draguaient tout le temps et même sans raison. Son père en était la preuve.
Il aurait aimé pouvoir arrêter le temps. Avant que les problèmes s'entassent et le noient.
Essayer d'éviter un problème et c'est un autre qui te tombe dessus.
Les pensées, dès qu'elles étaient lancées, s'emballaient. Même s'il essayait de les repousser elles reprenaient le dessus. Comme des poignards sombres elles lui transperçaient le crâne. Il pouvait sentir leur dard dans sa tête. Dès qu'une lame le traversait, un nouveau souvenir resurgissait.
Amélie Vine bâilla à s'en décrocher la mâchoire. "Les lundis matin sont assez déprimants comme ça, songea-t-elle, sans avoir à supporter une mère complètement dingue." Dans cinq jours, elle allait fêter ses quatorze ans, et le bilan n'est pas brillant : un sein plus petit que l'autre, une penderie bourrée de vêtements déjà portés mille fois, et la certitude qu'elle allait récolter une mauvais note à son devoir de géo. Et, bien sûr, inutile de compter sur sa mère pour lui venir en aide.
Avoir honte, c'était pire que de se casser tous les os.
On en détruit pas la vie d'un enfant, sauf si on y est contraint.