La misère, elle connaissait. Korost faisait les choux gras de la misère depuis cent ans. Korost l’avalait à grandes bouchées et déféquait du verre et du métal. Mais ce qui émergeait depuis ces quelques mois, ce n’était pas de la misère, c’était de la poudre. Un énorme nuage de poudre, prêt à carboniser la ville.