La métaphore théoriquement productive pour dire cette manière de rompre radicalement qui soit pourtant manière de « tenir ensemble », est le « clignotement ». Penser le temps comme diachronie, c’est donc aller le plus loin possible dans la tentative de le penser comme rupture et discontinuité. Cela mène bien sûr aux limites du pensable […] Et pourtant il lui appartient d’affecter l’être et de s’y montrer même si c’est comme clignotement fugitif et énigmatique, même si sa manière de se montrer consiste tout entière dans le bouleversement de l’apparaître.