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3.7/5 (sur 115 notes)

Nationalité : France
Né(e) le : Oct 1950
Mort(e) : 1977
Biographie :

C'est l'écrivain et éditeur Horace Léonard Gold (1914-1996) qui fonde en 1950 la revue Galaxy Science-fiction. Surfant sur la nouvelle mode des romans d'anticipation, la revue propose des nouvelles et des articles des auteurs de science-fiction alors peu connus, comme Isaac Asimov ou Robert Silverberg.

Le n°1 est publié en octobre 1950, les sorties mensuelles se poursuivent jusqu'à la fin 1958, puis deviennent bi-mensuelles.


Galaxie est un magazine de science-fiction français édité d'abord par la maison Nuit et Jour de 1953 à 1959, puis par la maison Opta, de 1964 à 1977.

La première série, de novembre 1953 à avril 1959, a comporté 65 numéros. Elle éditait des nouvelles, des romans à suivre et une rubrique sur les OVNI. On y publiait tant des auteurs anglo-saxons (dans des versions traduites parfois très librement, voire carrément remaniées) que des romanciers français qui se firent connaître par ailleurs dans la collection Fleuve Noir Anticipation.

La deuxième série, de mai 1964 à août 1977, a comporté 158 numéros (le numéro d'août/septembre 1975 étant numérotée 135/136). Les rédacteurs en chef ont été Alain Dorémieux pour les numéros 1 à 67 (de mai 1964 à décembre 1969), puis Michel Demuth pour les numéros 68 à 158 (de janvier 1970 à septembre 1977). On y trouvait tant des nouvelles que des romans à suivre, tant des classiques que des auteurs récents, et quelques nouvelles d'auteurs français.
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Bibliographie de Revue Galaxie   (195)Voir plus

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Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
Mais qu'est-ce qui est sensé dans cet univers?
(Après l'apocalypse)
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- Cette époque est néfaste. L'univers entier aurait-il perdu le sens? Mais dites-moi, si vos ennemis sont puissants à ce point, pourquoi négocient-ils?

(Trois mondes à conquérir)
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L’humanité n’a rencontré que peu de vies extraterrestres, et il faut reconnaître que les Kormaks ne donnent pas envie de sympathiser. Réussir à communiquer avec eux n’a pas été un mince exploit. Il est déjà si difficile de se comprendre entre Terriens, alors avec une autre espèce d’un autre monde, on court à la catastrophe dès que l’on se dit bonjour.
Dans la nouvelle Kumak, de Gabriel Féraud
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Beaucoup de désespoirs n'égalent pas un espoir.

(Après l'apocalypse)
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"Écoutez-moi, Lory," dit-il, "vous laissez la bride sur le cou à vos préjugés - pardon, je voulais dire opinions. Je puis comprendre votre point de vue. Je ne vous en ai jamais voulu d'avoir manifesté un tel désarroi à la nouvelle de la révolte, et j'espère sincèrement que les gens cesseront bientôt de vous battre froid pour cette raison. Ce n'est pas votre faute si les écoles ont seriné à votre génération que les U.S.A. devaient monter la garde sur la race humaine tout entière, sous peine de voir se déclencher une nouvelle guerre thermo-nucléaire. Mais, par l'enfer, les étrangers ne personnifient pas le mal! Ils supportaient avec impatience notre hégémonie. Qui ne l'aurait fait? Notre pays n'est-il pas allé jusqu'à détruire les Soviets pour secouer leur joug? Si les Sam Halls sont vraiment capables de fonder cette autorité coopérative de paix qu'ils nous promettent, le problème se trouvera résolu - et les Américains n'auront plus à se rendre eux-mêmes esclaves, en demeurant assis sur le couvercle de la marmite. Ne vous laissez plus terroriser par des fantômes."

(Trois mondes à conquérir)
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Deux extraordinaires romans de science-fiction par l'un des maîtres du genre.
"Après l'apocalypse"
L'espace leur appartenait. Ils étaient destinés à errer indéfiniment et sans but d'une étoile à l'autre, sans jamais retourner sur terre - car la terre était morte, anéantie par un ennemi sans pitié !
"Trois mondes à conquérir"
Sur Jupiter et Ganymède, un extra-terrestre et un homme affrontaient - séparément - deux dangers mortels. Ils ne s'étaient jamais vus, et pourtant ils étaient amis, et leurs sorts étaient curieusement mêlés...
(quatrième de couverture - parution 1966)
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— Voyons quel goût ça a ! dis-je.

Je choisis une boîte de couleur orangée. Le couvercle se résorba au contact de mes doigts, et je vis, dans la boîte, des cubes d’une substance orangée et molle. J’y goûtai.

— Du chocolat ! Absolument le goût du chocolat !

Véronique choisit une bouteille et but un peu de liquide bleuâtre.

— Du lait ! s’écria-t-elle.

— Nous ferions peut-être bien d’explorer les autres pièces, lui proposai-je, très intéressé par nos premières découvertes.



LA pièce suivante était, de toute évidence, un lieu de récréation. Il y avait des tas de jeux dans des boîtes et des feuilles où des instructions étaient données sous la forme de dessins simplifiés. Les jeux étaient étranges, mais agencés de façon à intéresser des humains.
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En franchissant la porte du fond, Poul Anderson se dit : je ne crois pas qu'ils me rattraperont. Pas tout de suite du moins.
J'ai beaucoup trop à faire ici. Quelle occasion ! Lorsque je serai vieux, je pourrai raconter ça aux enfants d'Astrid.
Le fait de penser à sa fille lui rappela une chose évidente : il lui faudrait obligatoirement retourner en 1954. A cause de Karen et du bébé. Peu importait ce qu'il découvrirait ici. Pour lui, ce séjour était temporaire.
Mais avant...D'abord, décida-t-il, je vais aller à la bibliothèque. N'importe quelle bibliothèque. Il faut que je trouve un livre d'histoire qui m'apprendra ce qui s'est passé pendant toutes ces années depuis 1954...
(extrait du chapitre 4)
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A voix basse, Gilly déclara : "je suis impressionné. Dire que dans cette salle, il y a quelques uns des..."
- "Je sais" murmura Tozzo. Le projet pouvait attendre, au moins un moment. Une occasion merveilleuse leur était offerte de voir les prescients, de leur parler et de les écouter...
Un homme grand et mince s'approchait, vêtu d'un complet sombre qui scintillait de petits points de matière synthétique. Il portait lunettes et cheveux, et tout, en lui, avait un aspect sombre. Le nom sur l'insigne...Tozzo regarda.
Le grand homme sympathique était A.E. Van Vogt.
- "Dites", disait un autre homme, sans doute un admirateur des prescients, qui venait d'arrêter Van Vogt....
(extrait du chapitre 3)
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Vacances
spatiales



Leurs espoirs furent largement comblés : à l’aventure qu’ils cherchaient s’ajouta richesse…



LE soleil de juillet dardait ses rayons sur Lumber City, charmante petite ville de Géorgie, bordée au sud-est par l’Altamaha River, dont les flots verdâtres coulaient mollement, tantôt entre deux murs de peupliers, de frênes, d’arbrisseaux où dominaient les chèvrefeuilles, tantôt entre les étendues vertes et dorées des prés et des champs. Loin des centres industriels, des grandes métropoles, Lumber City était calme, baignée d’une chaleur lourde qui prédisposait plus au farniente qu’au labeur.
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